Ailes de Corbeau | Ombre

CARACTÈRE
    

- Comment tu décrirais le caractère de ton perso ? N'oublie pas ses qualités et ses défauts : La seule chose qu'y n'a pas changé chez toi, après ma mort, est ton caractère. Tu es resté distant avec les autres, comme tu l'as toujours été. Mon ange peut parraître toujours aussi froid et renfermé, alors qu'au fond de lui, il est tendre et doux. Tu es un gros nounours, à l'interieur. Mais, on physique barracé peut en effrayer certains, peut-être même beaucoup. C'est vrai, que, sans le vouloir, tu es un peut effrayant. Mais ce n'est pas du tout ton envie, non, simplement tu n'ose pas t'imposer. Tu es assez calme, et quelque peut timide. Tu n'oses pas t'imposer dans une conversation, et tu suis les ordres, point barre.


Avec ta famille, au contraire, tu es un des plus tendre au monde. Enfin, ta famille... Ton fils, notre fils, lui seulement à le droit de recevoir de la tendresse et de l'amour de ce cher Ailes de Corbeau qui effrait les chatons. C'est la chair de ta chair, c'est ton sang, c'est toi. Jamais tu ne pourrais lui faire de mal. Alors lorsque tu t'occupes de lui, tu retournes en enfance, tu t'ouvres complètement au monde exterieur et ta vie de vient rose. Tu es complètement gaga envers ceux que tu aimes. 


La vie, pour toi, c'est le Clan, et la famille. Tu vis Ombre et Loir, tu dors Ombre et Loir, tu manges Ombre et Loir... Tu es vraiment un des chats les plus loyals que je n'ai jamais vu, mon amour, et je peux te dire que j'en vois beaucoup, là - haut ! Jamais il ne te viendrais à l'idée de trahir ton Clan, c'est puor toi une abbération totale, immense, infinie... L'Ombre t'as donné la vie, c'est grâce à ton Clan que tu vis encore après toutes ces lunes et toutes ces aventures que tu as eu la chance, ou parfois, la malchance de vivre. Tu mourrais pour ton Clan s'il le fallait. 


Tu es très autoritaire mon Corbeau, et cette autorité peut t'apporter des problèmes. Aussi, tu es comme les tueurs à gages que l'on voit dans les films : tu fais ce qu'on te dit, même si tu n'en a pas envie, tu te tais et tu exécutes les ordres. Tu n'es pas un râleur, non, loin de là. Tu te contente de ce que tu as.  Tu es silencieux, très silencieux. Tu fais tout pour éviter de parler, tu économise ta salive, dis tu à notre Petit Loir quand il te pose la question. Tu t'effaces.
    

- Quels sont ses projets ? Tu n'en a jamais réellement eu depuis ma mort, mon ange. Avant, avant tout cela, tu rêvais de fonder une grande famille, et de monter dans la hiérarchie de ton clan. De partir à l'aventure aussi, et de vivre pleins de nouvelles choses ! Mais maintenant que je ne suis plus là, tu as perdu tout espoir de réussir un jour, tu n'as aucun projet.
    

- Et au contraire, sa plus grande peur ? Oh, mon cher Ailes de Crobeau, c'est lui que tu as peur de perdre. Petit Loir... Tu l'aimes tellement cette enfant, ton enfant, ton fils. Depuis ma mort, c'est seulement en le regardant que tu te dis que tu dois vivre, c'est ta seule raison de vivre. Ta plus grande peur est de perdre notre Petit Loir.
    

- A-t-il un point de vue sur les rivalités claniques ? Tu hais les autres clans, Ailes de Corbeau. Tu les a toujours hais, ce sont tes ennemis, jamais tu ne leur adréssera la parole. Alors la seule chose que tu ferais les concernants, c'est la guerre. La mort, tu voudrais qu'elle se dirige vers eu au lieu de narguer ta famille comme elle l'a fait toute ta vie. Tu hais quatre autres clans, et tu ne rêve d'une seule chose : les réduires en cendre.
   
 - Quel est son point de vue sur le Clan des Étoiles ? Oh, ce n'est pas la question à poser. J'en fais parti, ta mère en fait parti... Là-haut, tout là-haut, je suis là, à veiller sur toi. Alors tu crois en nous, tu crois en nous comme tu n'a jamais cru en personne. Et jamais tu ne pourras enlever cette idée de ta tête, cette idée que je te regarde de mon nuage, et que je t'aime toujours Corbeau.
    

- Quel est son point de vue sur les terres de Valeemar ? Tu t'y sens à l'aise. Après tout, elles ont vu naître notre cher Petit Loir, mais elles mon aussi tué. Mais tu sais aussi que tu mourras ici, alors tu essaye de profiter au maximum de ces nouveaux territoires que tu trouves magiques. 
   
 - Et sinon, quelle réputation a-t-il : au sein du clan, dans l’ensemble de la forêt ? Tu peux parraître froid, mais personne ne te trouves bien méchant. Mais tu ne t'approches pas des autres clans, tu les hais tellement. Tu n'es donc pas le plus connu de la forêt. Sinon, on t'apprécie dans ton clan, pas pour ton caractère mais pour ton envie de servir les siens. En fait, tu es plutôt un atout physique d'un ami...
    

PHYSIQUE
    

- Ton personnage, il a quel type de pelage ? Oh, toi mon bonhome, tu es beau ! Tu es grand et musclé, avec de longues pattes et toute aussi musclés que tout corps. Tout poil est court, et tu est blanc tacheté de noir. Tu es un silver bangal à la queue noir et aux pattes charbons. 
    

- Et il a de beaux yeux ? Tu sais pourquoi je suis tombée amoureuse de toi, mon amour ? Tes yeux, ils sont ensorcellants, hypnotysants.Ils sont bleus, mais d'un bleu extraordinairement clair. On croirait voir le ciel, et lorsque tu découvres quelque chose, lorsque tu vois notre fils, ils pétillent et on croit voir les étoiles. Ils sont grands, expréssifs, particulièrement ronds.
    

- Il est plutôt grand, de taille moyenne, ou petit pour son âge ? Oh toi, Corbeau, tu es grand, très grand. Tu dépasse peut-être tout ton clan, tellement ta taille est immense.On croirait voir la montagne lorsque tu fait bouger tes larges épaules... 
    

- Et au niveau de sa corpulence ? Tu es tout ce qu'il y a de plus normal, mais tu es particulièrement grand est musclé, ce qui donne l'impréssion d'une corpulance élevé. Tu es imporsant mon ange. 

- Quant à ses habilités, il est plus ou moins bon en quoi ? Tu es très fort au combat, vraiment très fort. Avec tes larges épaules, tu saute sur tout le monde sans qu'on s'en appersoive.Tu es aussi très silencieux, ce qui te facilite lros de la chasse. Mais la course et l'agilité ne sont pas tes points forts... En raison de ta taille gigantesque, tu as du mal àgarder ton équilibre...
    

- Pour finir, a-t-il des signes particuliers ? Oh mon corbeau, des signes particuliers, tu en as ! Ta taille, tout d'abord. Et puis aussi ton oreile gauche. Elle est déchirée sur le haut, et tu es sourd de celle ci. 
    

HISTOIRE
    

- Ton perso est-il de sang pur ou de sang mêlé ? Toi mon bonhomme, tu es le plus pur des chats du monde ! 
     

- Et ses parents, ils venaient d'où ? Ton père, que tu détestais tant, venait de l'Ombre. Et ta mère, que tu as tellement pleuré, était elle aussi une Ombreuse aguérie.
    

- Les liens familiaux de ton perso : Oh oui, la seule personne que tu aimes mon ange. Ton fils. Petit Loir, du Clan de l'Ombre.

   
- Pourquoi porte-t-il ce nom ? A cause de ce malheureux corbeau qui, de tes ailes, t'as sauvé. 
    

- Raconte-nous un ou des événement(s) particulier(s) de sa vie (naissance, baptême, cérémonie, ...) : Ta mère marchait, le ventre gros de ton poids, à travers la forêt. Il faut dire que pesais lourd, déjà... Elle souffrait terriblement, son ventre lui donnait de telles contractions qu'elle croyait mourir. Mais il fallait qu'elle tienne bon, elle n'allait pas laisser tomber, à deux doigts du but. Elle appercevait au loin la silhouette penchante et hésitante de son camp. Un chat dans un étatt normal sserait arrivé à sa destination en quelques secondes à peine, mais elle, elle peinait tellement à avancer... Et les bruits réguliers du quotidien Ombreux lui parvenaient à l'oreille. Les cris des chatons, les anciens qui râlaient... Tout allait bien, personne ne se doutait qu'une reine, enceinte depuis déjà neuf mois, avait disparu. Elle sentait que tu bougeais dans son ventre, et elle savait que tu allais naître d'une minute à l'autre et qu'il fallait absolument qu'elle arrive à temps. Sa grossesse lui avait tellement de mal qu'elle et la guérisseuse redoutaient le pire. Il fallait donc qu'elle soit là, absolument. Sinon, elle et le  bébé, toi, mourraient. Et c'était impossible, elle ne pouvait pas te laisser mourir ainsi. Elle posa enfin sa patte sur le sol du camp. Alors, elle fut prise d'affreuses douleurs, et elle s'effondra sur le sol, épuisée, n'en pouvant plus. Elle cria, hurla, tu lui faisais si mal !  La guérisseuse, allertée par tout ce bruit, accouru. La reine souffrait horriblement, c'était désastreux à voir. Le premier chaton sotit. Mais l'autre n'y arrivait pas, c'était horrible. La reine s'évanouit de douleur. Lorsqu'elle se réveilla, elle constata avec effroi que son clan enterrait un de ses enfants, un enfant qui n'aurait jamais de nom. Mais un petit respirait toujours, près de la guerrisseuse. La reine, toujours au bord de la mort, accourut, puis, épuisée, s'évanouit à nouveau. Mais elle avait un enfant, un fils. Elle avait réussi. 


Le moment symbolique où la mère devait te nommer pris beaucoup de retard. Tu étais très malade, et ta mère était au bord de la mort. Tout allait mal pour la guérisseuse, elle était débordée, et ce petit, toi, qui avait tant de mal à vivre... Mais un beau jour, elle y parvint. Elle était si talentueuse ! Alors, vous sortirent, ta mère et toi. Cela faisait déjà deux lunes que tu étais né, mais seul ta mère pouvait te nommer et elle n'en avait pas la force. Le chef n'avait pas osé choisir pour elle, et ton père s'était montré silencieux, ne répondant à aucune question. Ta mère ne comprenait absolument pas pourquoi, et elle se promit que quand elle aurait réfléchit à ton nom, elle viendrait s'énerver contre lui, qui l'avait, elle et toi, lâchement abandonnés. Mais elle n'en avait pas le temps. Soudain, alors qu'elle t'avais amené vers la pouponnière, un aigle attérit dans le camp. Le Clan tout entier hurla, sous l'effet de la panique. Ta mère, encore un peut malade, ne put rien faire, l'aigle t'attrapas. Mais, soudain, jaillissant des cieux, un corbeau au corps noir comme le charbon apparut. Désirant plus que tout le petit chaton, toi, il mordit l'aigle et un combat acharné commença. Bien sur, le corbeau perdit, mais lorsque l'aigle voulut reprendre sa proie, tu étais déjà chez la guérisseuse, à l'abris. Il s'enfuit. Et s'est ainsi qu'on te nomma Petit Corbeau, en honneur à celui qui, même s'il était mal intentionné, t'avais sauvé. 


Une demi lune passa avant que tu puisses enfin, rentrer pour la première fois dans ton antre. Car, l'aigle t'avais tellement sérré de ses serres qu'il t'avais déchiré la peau et le haut de ton oreille gauche. La guérisseuse en avait réellement assez, des pleurs de ta mère qui avais put seulement te nourir, et non t'élever et t'aimer. Mais enfin, à l'âge de deux lunes et demi, vous rentrèrent tout deux  dans la pouponnière. Les chatons qui vivaient avec toi étaient donc du même âge, mais bien sur, plus poli et quelque peut plus intelligent : après tout, c'était normal, jusque là, tu avais passé tes nuits dans l'antre de la guérisseuse.


Dès qu'elle fut en état de crier, de marcher et de sauter, Liberté Enjouée, ta mère, se précipita vers ton père. Tu étais déjà curieux, mon amour, et tu l'as suivie en secret. Jamais tu ne l'avais vu si en colère. Ton père reniait complètement être ton gêniteur, et accusait ta mère de mentir et de raconter des bannanes. Pourtant, c'était bien vrai, tu avais un père, c'était obligatoire ! Et Liberté n'avait pas, c'était littéralement impensable, eu un chaton toute seule. Mais personne ne pouvait rien dire : personne n'avait vu ta mère et ton père, dont tu ne connais même pas le nom, ensemble. Tu grandis donc sans père, seul, littéralement seul. 


Ta mère t'enseignais durement quelques bases du code du guerrier, de la politesse. Mais une chose que tu retins de son enseignement fut la loyauté envers ton Clan. Si tu faisais une chose de mal, qui pourrait blesser l'Ombre, ta mère te punissait sévèrement. Pour elle, la seule chose importante dans la vie était le Clan et la famille. C'est d'elle que tu tiens cette loyauté sans faille qui ne te quiteras jamais. Tu l'aimais ta mère, et bien qu'ellle ne te le montra pas, elle t'adorais et e te quitterais pour rien au monde. Tu étais elle, tu étais sa chair. C'est peut-être d'elle que viens ton amour pour notre Petit Loir...  Tu l'écoutais patiemmen t'instruire, puis, quand elle te laissait, tu courais aller jouer avec tes amis. Bien que toi non plus tu ne lui montra pas, elle t'intéréssait et tu adorais écouter ses cours et ses conseils. 


C'est à l'âge de cinq lunes que ta vie commença réellement. Tu avais déjà vécu tant de choses horribles, tu n'avais pas connu ton père, tu t'étais fait prendre par un aigle.... Mais jamais tu n'aurais put imaginer qu'on puisse te prendre ta mère. Mais tu avais tort, on te l'a pris. Il ne te restait plus qu'une lune avant de devenir un aprenti, et ta mère ne put jamais te voir devenir un félin aguéri. Elle mourrut avant. Le mal vert te la pris. Tu vis la mort, c'était une chatte au pelage noir comme la suie, et aux yeux rouges. De ses pattes de velours tu la vis te prendre ta mère, et toi, impuissant, tu ne put rien faire. Elle t'offrit un beau sourire, te murmura que tu la reverrais bientôt, puis, comme une voleuse qui a peur d'être surprise, elle s'enfuit sans un mot. Alors, une nuit, tu vis une étoile s'allumer et briller dans le ciel. Tu n'avais que cinq lunes, tu étais encore jeune, mais, n'ayant connu qu'elle, tu compris parfaitement que tu ne la reverrais plus. C'était ta seule famille, plus jamais tu n'entedrais ses conseils et ses leçons de morales. Elle n'était plus là. Alors, tu t'effrondras. Le Petit Corbeau si joyeux et enjoué que nous connaissions tous se renferma, décida de ne plus parler à personne et, comme ta mère te l'avais demandé, tu ne fis qu'exécuter les ordres en te taisant, sans rechigner. 


C'est là que j'apparaîs. Oh, comme cela fait byzarre de parler de moi ainsi, de nous, mon ange, de notre rencontre ! Je m'apelle Lueur Grise, et je suis apparut dans ta vie quelques jours seulement après la mort de ta mère. Tu étais si triste, si énervé contre toi même que personne ne pouvais t'approcher. Mais tu étais encore un chaton, et tu avais besoin de quelqu'un pour toi. Alors, je suis rentrée dans ta petit bulle, dans ta prison aux barreaux de fers que j'ai transformé en barraux de roses. Je ne changea pas ton caractère, non, tu demeura celui qui pleurait sa mère, mais tu te rouvris un petit peut plus au monde. Nous grandîmes ensemble, mais nous savions tous les deux que notre lien n'était pas le même que celui du'n frère ou d'une soeur. Je t'aimais déjà, mon ange.


Tu devins, à l'âge de six lunes, un beau, grand et fort apprenti. Tu fut nommé Nuage de Corbeau, en référence à ton  nom de chaton, et à la volonté de ta mère de te nomer ainsi. Nous partagions nos journées ensembles, je m'en souviens. Je n'avait pas d'autres amis à part toi, tu n'avais pas d'utres amis à part moi. Nous étions seuls aau monde, dans notre cocon de bonheur. Rien ne semblait pouvoir nous arriver, nous étions heureux. 


Un beau matin de printemps, je m'en souviens bien mon amour, tu rentras en pleurs au camp. Je me précipita vers toi, inquiète. Que pouvait t'il bien s'être passé ? Tu reffusais de me le dire, me disant que n'entedais que des mots haché de mes phrases. La guérisseuse, redoutant le pire, se précipita vers toi en me poussant. Moi, la petite Nuage Luisant, me suis mise à pleurer encore plus fort que toi. Mais tu ne m'entendias pas aussi fort que je criais. La guérisseuse, sachant que j'étais ta seule famille, ou plutôt, ta seule famille de coeur, me confia qu'une brindille s'était planté, par elle ne savait quel moyen, dans ton oreille gauche et t'avais percé le tympan. Elle était maudite cette oreille ! Ainsi, elle était déchirée, et tu demeuras sourd de celle ci. 


Ton aprentissage se déroula très bien. Bien que ta nomination pris un peut de retard à cause de ton équilibre et ton agilité désastreuse, tu fut nommé guerrier à 17 lunes. Je dus quittr la tannière des aprentis quelques lunes avant toi, mais dès que tu fut nommé guerrier, tout repris comme avant. Nos journées passées ensembles, nos soirée, no matinées... Un beau jour, ou plutôt, un beau soir, tout changea. Tu avais 30 lunes, j'en avais 26. Et c'est sur cette colline, tout là-haut, avec les lucioles, face à une étendue verte, que je plongeais mes yeux dans les tiens. Alors tu eu le courage de m'avouer ton amour, et c'est avec soulagement que tu appris que je t'aimais aussi. Mais ce n'était pas un amour commun, non, à force de passer nos journées ensemble, de grandir et d'apprendre à deux, nous nous connaissions par coeur. Mais nous avions pourtant tant de choses à découvrir ! C'était un amour passionel, et, sans exagérer, je ne pouvais vivre sans toi, et tu ne pouvais vivre sans moi. Nous nous aimions à mourir, nous étions plus que des âmes soeurs. Nous étions déstinés à nous unir. 


Nous passâmes beaucoup de temps ainsi, beaucoup de lunes, et même une ou deux années. Jusqu'à ce que ils arrivent. Tu avais déjà 73 lunes, j'en avais 69. Nous avions déjà tenté d'avoir une progéniture, mais le doute était trop grand. Nous nous aimions trop pour cela. Alors, c'est donc très vieux que nous eûmes nos premiers enfants. Petit Loir, et... C'est la mère qui choisis le nom de l'enfant. Je n'en eu pas le temps. Tout comme ta mère, ma grossesse fut très douloureuse et dûre pour moi. Mais tu m'accompagnas, tu fû à mes cotés durant ces moments si douloureux pour moi. Seulement, la mise à bas ne se passa pas comme prévu. Je n'accoucha pas au camp, mais dans une clairière entourée de rosiers. Ce fut le moment le plus douloureux de ma vie. Je criais, encore plus fort que ta mère, et j'en suis assez épatée d'ailleurs, et la guérisseuse, ainsi que toi, bien que très loin de moi, m'entendirent. Quand vous arrivèrent, il était déjà trop tard. Un chaton allait bien, bien que faible, mais l'autre au bord de la mort. Tout comme moi. Vous m'avez ramené au camp, et j'eu le temps de nommer notre Petit Loir. Mais les jours passèrent, et j'étais de plus en plus faible : j'allais mourir. Pourtant, tu restas à mes cotés durant tous ces jours. Mais je ne pouvais plus parler, et un chaton à besoin d'amour. Le deuxième chatonn mourut, puis je le suivis. La mort, qui n'avait pas changé depuis sa dernirèe visite, te murmura qu'elle allait maintenant te laisser tranquil, et elle m'emmena. Je la suivit, en compagnie de notre deuxième fils, et je t'adréssais un fegard serein et plein d'amour.


Une deuxième fois, tu t'effondras. Et cette fois, tu mis beaucoup plus de temps. Mais cela fait maintenant deux lunes que je suis morte. Et je te dis, avec un mélange d'autorité et de compassion de te relever. Peut-être pas pour toi, mais au moins pour notre fils. Et maintenant, c'est fini. Je viens te voir souvent, dans tes rêves.


Mais maintenant, je vais devoir te quitter. Te laisser te réveiller tout doucement et sortir de ton rêve dans lequel je t'ai raconté ton histoire. Au revoir mon amour, je t'aime... Que dis je ? Ce n'est pas bien d'aimer une morte, passe à autre chose. Mais moi, je ne t'oublierais jamais, et cela peut te parraître glauque, mais j'ai hâte de te revoir. Maintenant, il est l'heure, ta mère m'apelle, elle veut surement me parler. Au revoir mon ange.