Heureusement que tu es là ! (PV: Feu de Forêt)

Petit Esprit dormait paisiblement dans la pouponnière aux côtés de sa mère quand une petite goutte tomba sur sa truffe. Il releva alors la tête et vit une énorme goutte qui pendait du toit de la pouponnière. Ho non ! Se dit-il en se relevant le plus vite possible. Mais pris dans son élant de vitesse, il glissa sur la mousse qui recouvrait le sol et tomba sur le ventre. La grosse goutte tomba elle aussi est vint s'écraser sur la tête de jeune matou.

- Quelle poisse ! Cracha-t-il en s'ébrouant.

Bougon, le chaton se remit sur ses pattes et quitta la pouponnière. Dehors, le soleil réchauffait la clarrière et illuminait le ciel. Mais la neige était encore présente, ce qui ne plaisait pas à Petit Esprit qui avait froid aux coussinets. Le jeune clanique redressa la tête et vit un joli rocher.

-Ouah, sûrement que c'est là que le chef réunit tout le clan ! S'exclama-t-il les yeux grands ouverts.

Voulant savoir ce que cela fesait d'être chef du clan, il monta sur le rocher et cria:

- Que tout ce qui sont en âge de chasser s'approche du promontoire pour une assemblée du clan !

Fier de lui, le chaton se retourna et vit un chat s'approcher de lui.

-Hoho, je suis mal... Se dit-t-il.
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                                                                      Feu de Forêt


Il avait suffit d'une nuit pour que tu te rendes comptes que tout étais faux. Il avait suffi d'une nuit pour que tu te rendes compte que toute cette joie en toi était fausse, que c'est amour que tu avais pour les gens était faux. Il avait suffit d'un moment pour que tu te rendes compte que tout le monde mentait, et que ta vie n'était qu'une petite scénette joué par de si bon acteurs que ne sen rendait compte que plus tard que cela était du théâtre. Mais, cela avait pris des jours pour que tu te rendes compte que la forêt de Cerfblanc n'était qu'un plateau  de petits chevaux. Qu'elle n'était qu'un plateau de petits chevaux et que toi, et les tiens n'étaent que de simples figurines se battant contre les autres. Les hommes qui jouaient avait des  yeux noirs et des mains brillantes comme le soleil, on les appelait les Etoiles Noires. Elles étaient plus mesquines que n'importe qui, mais surtout plus revanchardes. Chacune se battait comme elle pouvait pour gagner cette partie infernale. Certaines pièces tombaient rapidement sous leurs emprises, mais d'autres, plus résistantes, ployaient moins vite sous le poids de leurs mains. Il avait suffit d'une nuit pour que tu te rendes compte de tout ça, une nuit pour te rendre compte que tu n'étais rien. Personne n'avait jamais pensé à toi, personne ne t'avais jamais aimé. C'était peut-être de l'égocentrisme mais tu avais besoin qu'on t'aime. Tu avais besoin de te sentir importante, mais tu savais bien que, dans cette partie si violente de petits chevaux, tu n'étais rien. 

Tu avais passé ta nuit à chasser et à espérer trouver plusieurs proies, n'en trouvant au final qu'une. Que tu ais raté ce que tu t'étais promis ne t'avais pas remonté le moral, loin de là. A la lueur des étoiles, toi qui était d'habitude si heureuse et joyeuse avait sentit une petite larme couler le long de ta joue. 

Maintenant, il faisais jour et le soleil brillait de mille feu. Mais, la neige était encore présente et le froid persistait, comme si les joueurs avaient placé de grand ventilateurs. La neige était blanche, plus blanche que tout, cette couleur que tu avais un jour aimé. 

Epuisée par cette nouvelle nui encore sans repos, tu passas le tunel d'ajcons lentement. Après avoir posé ta proie dans le tas de gibier, tu rentras dans ta tanière, pestant contre le sommeil qui ne venait que la journée. Mais, alors que tu fermais les yeux, bien au chaud tu entendis la voix d'Etoile Sombre. Tu ronchonas et te levas, marchant vers le proontoire. Mais personne n'y était et à la place d'Etoile Sombre, un chaton.  Tu partis dans un éclat de rire soudain, mais, voyant un chat s'approcher, tu allas vers le chaton.

""Petit Esprit, viens ici, dépêche toi !"

Lui chuchotas tu. Alors, une boufée d'amour s'enpara de toi. Tu avais toujours voulue avoir des chatons, pouvoir les aimer comme tu n'avais jamais aimé personne... Mais, le chaton était apparament trop petit pour descendre....

Alors, avec tooute la gêne du monde, tu le pris par le coup et le descendit du promontoire.. 

"Que faisais tu ici toi ?" 

Le chaton regarda le grand guerrier avec fierté.

- Je suis le chef du clan du Tonnerre ! Dit-il avec joie.

Le chaton bomba le torse et laissa les rayons du soleil pénétrer dans son pelage duveteux. Puis, il se jeta sur Feu de Forêt. Une fois sur son dos il lui chuchota à l'oreille:

-Si tu arrives à me tenir tête, je te choisirais comme lieutenant !

Petit Esprit descendit du dos du chasseur. Quand il fut au sol, le chaton pris une boule de mousse et la jeta sur Feu de Forêt. Celle-ci lui atterit en plein frond...
Le jeune clanique recula alors de quelques pas.

- Ho non ! Que va t'il me faire ! Se demanda le petit matou.

Pris de panique, il prit ses jambes à son cou jusqu'à la pouponnière. Une fois à l'intérieur, il se coucha.

- Ouf ! sauvé ! dit-il complètement épuisé.

Mais à peine avoir dit cela le rideau de feuille qui protégeait la tannière se mit à bouger.

-Ho non ! Je suis foutu... Pensa Petit Esprit.

Tu avais toujours aimé les chatons. A chaque fois que tu en voyais un, tu tombais dans une fase d'affection qui pouvait durer des heures et des heures. Tu avais toujours rêvée d'en voir un. Tu avais toujours rêvée d'avoir un petit, un petit qui courrait partout, un petit qui crierait "Maman !!!" en te voyant. Mais la vie ne t'avais pour l'instant pas comblée de ce bonheur, la vie n'avait pas voulue que des chatons t'aiment et viennent se blottir autour de toi. 

Tu avais toujours rêvée de devenir lieutenant du clan. Tu avais toujours rêvé d'être considérée dans la clan, alors si tu pouvais être, même d'un tout petit chaton, la lieutenante, tu serais tellement heureuse ! Alors que tu criais que tu voulais bien, le petit t'envoyas une boule de mouse sur la tête. Tu fermas les yeux et t'ébrouas, partant dans un grand éclat de Rire. Quand le jeune chaton allas se cacher doucement dans la pouponnière, tu déçidas de le suivre. 

Alors que tu rentrais dans l'antre sombre et chaude, tu sentis l'odeur de la peur chatouiller tes narines. Alors, tu eus envie de courir, de chanter...

"Oh oui, et si on jouait à cache-cache ????"

Ton esprit enfantin avait repris le dessus, oubliant complètement que lechaton t'avais manqué de respect...

Oh oui, et si on jouait à cache-cache ???

Le petit chaton se releva et regarda la guerrière en face de lui. Chouette ! Quelqu'un pour jouer avec moi ! Pensa t'il en oubliant le sentiment de peur.

-D'accords ! Tu contes et moi, je me cache. Dit-il à la jeune guerrière.

Aussitôt, Petit Esprit sortit de la pouponnière et chercha un endroit où il pourrait se cacher. Il tourna la tête quand son regard tomba sur un gros buisson. Parfait !
Le jeune matou s'y faufila aussi vite qu'il put et attendit l'arrivée de Feu de Forêt.

Quelques minutes passèrent quand le chaton s'endormit, bercé par les doux rayons du soleil et le chant des oiseaux.

Bouuuuuh !

Petit Esprit se réveilla en sursaut et se retourna si brusquement que sa fourure encore deveteuse se pris dans les branches du buisson.

- Ouille !!! Cria le chaton en regardant la petite égratinure formée sur son flanc.

Le crit fit retourner tout les regards. Ho non la honte... Le petit chaton sentit ses oreille chauffer tant il avait honte. Il plongea alors en dessous du ventre d'Eclat de Rire.

Petit Esprit vit la belle chatte s'en aller vers sa tannière,
-Qu'est-ce que j'ai fas de mal ? Ce demandait-il en se relevant doucement.
Comme il s'inquiétait pour Eclat de Rire, le petit chaton courut derrière elle jusqu'à la tannière des guerriers. Le jeune matou avança dans l'abris sombre mais n'ayant pas vu la chatte roulée en boule, il trébucha dessus, fit une petite roulade et se retrouva sur le dos près de la tête de la clanique. Il la regarda alors et lui demanda:

-Tu joues plus à cache-cache ?