Tempête d'Argent Ecorce Abîmé et Petite Vaillance

Tempête d'Argent se réveillait le matin, Petite Vaillance, Petit Jais et Petite Rose dormais encore quand leur père: Écorce Abîmé rentra dans la pouponnière.
- Bonjour, Comment tu va ?
Le grand matou regarda sa compagne et ses chatons avant de répondre:
- Je vais bien merci.
La grande chatte grise se leva et fis une toilette rapide.

Petite Vaillance cligna des yeux et observa sa mère nettoyer son pelage gris argent.
Elle tourna la tête et vis Écorce Abîmé. Elle sauta sur ces courtes pattes et se faufila entre les pattes de son père.
"Bonjour papa ! Couina la chatonne.

Le grand chat était heureux de voir sa fille venir entre ses pattes.
-Coucou toi! Miaula Écorce Abîmée en ronronnant.
La jolie femelle argentée ronronnait avec son compagnon.
- Et toi qui pensait que les chatons ne viendraient pas te voir, ils te reclament souvent.

Petite Vaillance s'approcha de sa mère.
"Tu me fait un tour a dos de blaireaux ? S'il te plaît maman ?" Demanda la chatonne.

Tempête d'Argent se baissa pour que sa fille puisse monter.
- Accroche toi bien ça va secoué, miaula Tempête d'Argent.
Écorce Abîmée lui s'allongea pour pour voir mère et fille s'amuser devant la pouponnière.

Après plusieurs tours du camp, Petite Vaillance se lassa et sauta du dos de sa mère.
Elle se dirigea vers le tas de nourriture et pris une petite souris quelle emporta dans la pouponnière pour la manger.
A l'intérieure, la différence de température était flagrante.
"Papa, quand est ce que je deviendrais apprentie ?" demanda la chatonne.

L'heureux père rentra dans la pouponnière et entendit sa fille poser la question.
- Quand tu aura tes six lunes patience ton tour viendra, Répondit t'il a sa fille.

Le chaton soupira et abandonna sa souris pour allez dehors.
"Tu m’emmène sur le territoire ? S'il te plaît ? couina t'elle.

Les parents de celle ci se regardèrent avant de répondre en parfaite syncronisation:
-Non ce n'est pas possible, il te faudra attendre tes 6 lunes.

La femelle argentée rajouta ensuite:
-Quand tu seras apprentie je m'arrangerais avec ton mentor pour que ma future apprentie, toi ton mentor et moi s'entraignons ensemble

Petite Vaillance poussa un gros soupire. Ce n'est pas qu'elle n'aimerais pas le future apprenti de sa mère, si toute fois elle en obtiens un, c'est qu'elle serais horriblement jalouse de lui. Quand à son père il ne pouvais pas être son mentor. Elle profita une dernière fois de la brise sur son pelage puis rentra dans la tanière où l'atmosphère était chaude et oppressante.
Après tout je n'ai pas besoin de papa pour aller dehors, Se réjouit elle dans sa tête. Je n'ai cas me faufiler en dehors du camp ! Dès qu'il auront le dos tourné.

Elle croqua dans sa souris et regarda ces parents discuter à l’extérieur.
Maintenant ou jamais!
Elle sortit et se glissa derrière ces parents. Puis, vive comme l'éclair, elle trottina jusqu’à un buisson ou elle se cacha. Elle observa le camp. A priori personne ne l'avais remarqué. Le jeune chaton décida donc de marcher l'air de rien le long de parois de pierre. Arriver à l'entré du camp, elle s'y faufila comme si s'était une habitude. Elle savoura sa première sortie au grand air. La brise secouait les feuilles des arbres et les buissons murmurait dans le vent. Elle prit un sentier au hasard et le suivit. Un mulot décampa sur son chemin, elle voulut le pourchasser mais ces courtes pattes se prirent dans une branche qui traînais par terre. Elle se ramassa de tout son longs sur le sol, laissant fuir le rongeur sûrement hilare de la voir ainsi. Elle se releva tant bien que mal et grogna.
"Je jure que ma première proie sera un mulot !"

Elle battit de la queue et reprit sa route. Elle s'arrêta devant un paysage de toute beauté : Le lac de la source. Elle s’avança et bondit sur un rocher au bord de l'eau. La mousse poussais au bas du rocher et sur la rive, créant une atmosphère légère et tranquille. Le gros cailloux sous ces pattes était creux, offrant une litière douillette et chauffé par le soleil. Dans les arbres un oiseaux lui perça les tympans de son cris effroyable puis il s'envola. Son plumage noir comme le jais remua au rythme de ces battement d'ailes. Petite Vaillance bondit sur place quand l'oiseau se posa dans la clairière. Sa mère lui avais parlé des corbeaux dangereux pour les chatons sans défenses. Elle se tapit au fond de son trou et attendit que le volatil s'en aille. Heureusement, il décida qu'il n'y avais as assez de graines ici. Il s'éloigna en criant. La chatonne frémit et se remis sur pattes, puis descendit de son promontoire en dérapant. Elle regarda autour d'elle et s'avança dans l'herbe. Le corbeau reviendrais sûrement si il voyais un chaton seul. Elle remonta donc sur son perchoir et se roula dans le creux, savourant la chaleur.   

Tempête d'Argent et Écorce Abîmée discutaient depuis une heure déjà. Les deux chats décidèrent de rentrer dans la pouponnière, Petite Vaillance n'était pas là a première vue, les parents de celle-ci s'attendaient a une blague de sa part du genre: je te saute dessus. Mais elle n'était pas là elle ne se cachait pas puisque Tempête d'Argent ne la voyait pas après l'avoir chercher dans toute la pouponnière.
- Écorce Abîmée ? appela la jeune mère, Petite Vaillance a disparut !!

Le bruit des vaguelettes sur la rive submergea Petite Vaillance d'une tranquillité infinie. Elle pourrait rester allongé sur ce rocher pendant trois lunes. Le soleil couchant alerta pourtant la chatonne somnolente, elle devait rentrée pour éviter d'inquiéter Tempête d'Argent. La petite s'étira bailla, révélant de petit croc pointues. Son estomac vide grogna famine. Sa souris a peine grignoté ne l'avais rassasié le moins du monde. Elle sauta au bas du rocher et prit le sentier par lequel elle était venue quand l'oiseau noir de toute a l'heure surgit. Sans réfléchir, elle bondit sur l'oiseau et le mordit de ces petites dents, puis lâcha prise et s'enfuit en courant. Elle s'engouffra dans la forêt et couru aussi vite qu'elle put. Plusieurs minutes plus tard elle arriva a la branche ou elle avait trébucher. Elle sauta par dessus et se réceptionna en douceur. Petite Vaillance osa un coup d’œil en arrière. Le corbeau n'était plus la. Soupirant de soulagement, la chatonne en profita pour reprendre son souffle. Jamais elle n'avais eu aussi peur et elle avais hâte de rentrer de rouler en boule contre ces frères et sœur et sa mère. L’imprudente s'ébroua et trottina le long de la route.
Longtemps plus tard, elle vit l'entré du camp droit devant. Elle s'y engouffra et vit l'agitation qui y régnait. Soudain une masse grise argent surgit devant elle. Tempête d'Argent la regardait avec son air de pas content du tout.
Sa vas être ma fête...

Tempête d'Argent commença a ce diriger vers la sortie et y trouva sa fille.
- Tu rentre immédiatement a la pouponnière, et reste y! feula la reine en colère.
Elle lui passa devant sans un mot le poil tout hérisser.

Effaré par tant de colère, surtout venant de sa mère, Petite Vaillance resta de marbre un instant avant de se précipiter dans la tanière chaude.
Son frère et sa sœur jouais avec une boule de mousse. Elle ne prêta ni attention a eux ni a la souris qu'elle avais abandonné plus tôt dans la mâtiné. Elle avais honte que sa mère sois furieuse contre elle mais le pire restait a venir. Écorce Abîmé ne l'avais pas encore vu. Vaillance enfouit son museau entre ces pattes et frémit à cette idée horrible.
Elle resta immobile jusqu'au moment ou une patte la titilla. Petit Jais se blottit contre elle. Elle profita de sa chaleur et s'endormit.

La chatte argentée encore en colère s’arrêta devant son compagnon.
- Petite Vaillance est rentrée et elle est dans la pouponnière, fis la femelle en essayant de se calmer.



Écorce Abîmée entra dans la pouponnière et réveilla sa fille qui dormais au côté de son frère.
- Ta mère est en colère parce que elle a eu peur pour toi, ne refais plus jamais ça! Le jeune chat s'allongea sans dormir.

La chatonne tourna le dos à son père et sortit. Si Écorce Abîmé l'avais accompagnée quand elle le lui avais demandé, elle ne serais pas sortit seul voir pas du tout. Elle ne comprenais pas pourquoi les chatons ne devais pas sortir du camp. Si ils était accompagné, ils ne risquait rien. Elle poussa un gros soupire. Elle savais qu'elle était plus mûr que son frère et sa sœur. Eux, ils passait à l'action et ensuite seulement ils réfléchissait. Petite Vaillance sentit la colère monté en elle. Sa mère, qui l'avais rejointe, fit l'erreur de la toucher. Vaillance feula vers sa mère et s'enfuit vers la sorti du camp. Un guerrier tenta de l'en empêcher mais elle l'esquiva aisément et sorti. Avec l'énergie que lui procura sa fureur, elle courut sans s’arrêter. Elle gravit un monticule et dévala la pente quand une racine qui se trouvais sur son chemin la fit trébucher. Elle parti en roulé-boulé jusque dans les buissons en contre bas. Son long pelage s'accrocha dans les branches. Grognant de rage, elle força le passage pour sortir du piège de plante. Essouffler elle s'accorda une pause pour repartir de plus belle quand elle perçut les voix qui l'appelait.
"Vous ne m'aurez pas ! Dit elle pour elle même

Tempête d'Argent pourchassa Petite Vaillance et la rattrapa puisque le chaton n'avait pas d'aussi grande pattes qu'elle. La femelle argentée attrapa sa fille par la peau du coup en se promettant d'en parler au chef du clan. Elle lâcha sa fille dans la pouponnière. Les deux parents avait leurs pelage hérissés par la colère. La reine cracha a sa fille qu'elle ne devait pas sortir de la pouponnière pendant environ une semaine.

Vaillance se fichait pas mal de ne pas avoir le droit de sortir. Elle se fichait que sa mère aille parler à Étoile de Chêne et de la punissions qui lui serait donner.
Elle se roula en boule et rumina dans son coin, crachant sur son frère quand il la titilla.
Elle ignora sa famille et piqua un bout de la litière pour dormir en dehors du nid, a coté de l'entrée, près du lit de la famille de Petite Idylle.
Pendant la nuit elle frissonna mais ignora la morsure du froids et s’enfonça davantage dans la mousse.

Tempête d'Argent s'en voulais un peu mais en même temps sa fille n'avait pas le droit de sortir hors du camp avant ses 6 lunes. La reine d'argent voyait bien que sa fille avait froid. Elle ne voulait pas que ça fille la déteste. Elle prit un bout de litière et alla installer la mousse sur le dos de sa fille endormie.