« Méfie-toi de celle qui crache du venin et de l'ombre blanche,

ils s'attaqueront aux fondements des clans... »
 
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 Fastes Quiétude •• Finis •

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Fragments Étoilés
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Fragments Étoilés

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MessageSujet: Fastes Quiétude •• Finis •    Fastes Quiétude •• Finis •  3horlo10Sam 18 Fév 2012 - 21:55

•• Fastes Quiétude
« Car l’alizé à beau venter ; l’incertitude ne peux trembler. »
« Veuve idyllique sans remord ni mari ; je suis épris. »
« Car mon rêve est mon futur, et que mon futur ; je le veux réel. »

    Fastes Quiétude •• Finis •  2v0g4qs
    « La désillusion d’un rêve perdu. »
    Noms du chat ;
    « Boule haineuse ;
    Nuage de Haine ;
    Fastes Quiétude ;
    Étoile d’Ataraxie. »

    Age ; Adulte d’environ trente-six Lunes. (36)
    Mâle ou Femelle ? ; Femelle.
    Clan ; Vent.
    Rang ; Guerrière.


    Physique ;


    • « • Dans la brume épaisse des songes, dans les abysses de la nuit ; une forme se démarque. Un éclat, une lueur ; l’esquisse ne peut pas se compléter ; la forme fuit l’emprise du dessin. Le pinceau court sur les formes ; les couleurs se forment, brutales ; sauvages…

    • « • Tu es la liberté même ; en toi chantent les alizés des vents. N’es-tu pas la source même de la brume ? Un éclat vif nait en tes yeux félins ; tu cours, bondis entre les arbres ; fendant d’une flèche invisible ces austères lieux. Tes muscles fondent en toi tel le ruisseau et les oiseaux.

    • « • La lueur de la toute puissance nait des cieux ; la lune dévoile ton visage. Le masque tombe alors que d’un vol tu atteins les landes qui scandent noms perdus… Le silence se fait ; les nuages voilent le céleste ; mais les rayons persistent. Le sauvage de ton être explose ; une symbiose nait de ce silence parfait.

    • « • Rayonnante et fière te voilà éprise d’un rayon lunaire. Intrépide et champêtre, tu ne veux pas paraître ; tu te contentes d’être. Les faisceaux solitaires te pourchassent ; à la recherche d’une parure éternelle. Les vents hurlent dans ton dos ; et ta fourrure se fait prendre dans l’esquisse.

    • « • L’hurlement devient clabauderie et le silence se tait. Des rayures explosent sur la toile ; des couleurs sombres et enivrantes ; mais malgré l’esquisse unique ; il manque cet éclat impénétrable. Mais tu es trop violente, les traits fusent dans tous sens alors que tu danses entre les prises.

    • « • L’hymne final parvient à la bordure du trépas ; les abysses tendent leurs bras. Tes pas se succèdent, ton âme se perd ; mais cette lueur intenable ne veut se perdre. Alors que l’illusion se termine ; alors que la mort est devant toi ; d’un funeste appel ; ton regard croise le portrait, et la vie renait. Le tableau se termine…


    Caractère ;


« Qui es-tu à quoi rimes-tu ? <
    • « • Tu es l’incernable, l’incontournable. Tu es fière, intrépide, tu mélanges tes peurs et tes espoirs, tes rêves et tes cauchemars. Tu es l’identique de celle qui est ton opposée. Vous êtes deux promesses semblables ; si identique et pourtant si divergente.

    • « • Elle, c’est noyée dans la solitude ; toi t’es noyée dans la haine. Elle est le mystère, toi es l’impossible. Elle est la fierté loyale, toi es la fierté incernable. Elle est éprise de remords et de peine ; toi n’y es éprise ; mais confrontée.

    • « • Indomptable, fière, intrépide. Tu es identique à ta sœur. Tu as pris du temps à trouver ton chemin, longtemps noyé dans les ténèbres. Tu n’es plus la haine, mais l’hypocrisie. Tu es la reine d’un jeu perdu ; elle est la reine de l’incertain. Deux adjectifs si semblables mais si éloignés.

    • « • Tu as un cœur très sensible, mais tu te caches, tu te ment à toi même. Philosophe et solitaire ; tu hais cependant cette dernière ; mais perdue dans tes mensonges ; tu ne t’y sors plus. Tu rêves d’un futur ; alors que tu ne penses qu’au vécu. Le passé te poursuit ; alors que tu cours aveuglément vers un inconnu terrifiant.

    « Tu es la veuve sans époux ; l’impossible rêve devenu réalité…


    Craintes ;


« Oh toi reine de l’hypocrisie ; de quoi as-tu peur ; qu’éprouves-tu dans les abysses de ton cœur ?…
    • « • Cris et pleurs, déchirement et sang… Ce rêve te reviens chaque soir ; et tu ne peux oublié le vécu. La crainte ? Qu’en as-tu donc à faire ? Tu te caches perpétuellement sous le mystère, le mensonge et les sourires sont ton barrage contre la peur ; mais au fond de toi, que ressent-tu ? Tu aimes l’obscurité ; les bois et même la pluie… Quelle est ta faiblesse ?

    • « • La mort ; sans doute. Non la tienne, mais la leur. À ceux qui te sont chers. Sans eux, comment imaginé ta vie ? Et pourtant, malgré cette dévolution ; la solution persiste, tu oses clamer que tu l’aimes, mais n’en as-tu pas peur ? Tu vis dans tes craintes, et chaque seconde passée ; une peur dévore ton cœur.


    Rêves ;


« Tel l’envol d’une hirondelle.
    • « • Un regard, un sourire. Une envie. Voilà ce qu’est pour toi le bonheur à l’état pur. Que veux-tu, que cherches-tu ? Au final, qu’est-ce pour toi ? Ton cœur est une muraille infranchissable, ton passé creuse l’impossible entre eux… Et toi. Tu es l’errante solitaire ; et tu te noies dans tes peurs. Alors comment fais-tu ? Comme peux-tu rester ainsi sur terre ?...

    • « • L’envie ; sans doute. L’envie de croire en quelque chose alors que toi même ne crois plus en rien. Ton rêve le plus précieux, un jour ou les membres de ce clan te verront comme véritable guerrière ; ton rêve sera quand l’une de ces personnes croisera ton regard, et qu’en vous, une chose cèdera… L’envie de croire, l’envie d’un rêve à transformer en réalité.


    Histoire ;


« Car le blanc paraît bien terne, maintenant.


    • « • Le sol était de pourpre, ta vison flanchait tant les sanglots coulaient. Des gémissements résonnaient, mais tu étais paralysée par le froid ; la peur et la tristesse grandissait en toi. Tu n’étais pas comme Elle… Tu n’étais pas comme Nuage de Lune, tu ne t’en remettrais pas. Jamais.

    • « • Un pas hésitant, tremblant ; ton cœur était soufflé, en miette ; réduis à l’état de poussière. Mais le chagrin était trop fort, les blessures trop rubis ; et l’affliction trop forte. Tribulation ; désarrois. Tu n’étais pas comme elle ; tu ne le serais jamais… Tu tombais à terre, détruite ; ton cœur et ton âme réduits à néant.

    • « • Le vent t’incendiait le visage alors que des mâchoires puissantes s’en prenait à toi… Hésitante, tu ouvrais les yeux, reprenant doucement consistance. En toi, tout hurlait de douleur ; mais ce qui s’offrit à toi te coupa le souffle…

    • « • Sous la lueur lunaire s’offrait en spectacle le plus merveilleux des tableaux. Sous un vent d’alizé rayonnait des plaines ; leurs plants s’offrant aux vents. Tu en restais muette, en oubliais ton chagrin même… Mais le spectacle ne dura pas longtemps…

    • « • Il te jetait à terre, violement ; qui était-il ? Tu ouvrais tes opales vermeilles pour n’y voir que le chagrin de son regard. Toi même t’y perdis. Alors qu’il te reprenait par la nuque ; tu te laissais porter par tes flots ; laissant un sillon d’étoiles brisées au dos de votre chemin éphémère.

    • « • Des broussailles denses ; une nuée de poussière et de boue ; et enfin ; une étendue de terre boueuse… L’on t’y jetait. La violence du choc t’ébranla ; ton cœur fredonna l’hymne final ; alors que tes tempes vrillaient d’une douloureuse émotion. Tous les regards se posèrent sur toi ; toi la chatte aux odeurs de sang ; aux odeurs perdues.

    « Ma fille.

    • « • Personne n’osa dire quoi que ce soit ; ni même toi. Lui ton père ? Tu n’en avais jamais eu ; et tu n’en aurais jamais, pourquoi mentait-il ? Tu n’avais qu’une mère, et cette dernière était morte au moment de votre naissance… Elle et toi… Pourquoi ce mensonge, pourquoi tant de sentiments dans sa voix ? Pourquoi son regard te faisait pensé au tien ? Pourquoi…

    • « • Et si il ne mentait pas ? Et si… Si tu avais réellement un père ? Cette pensée t’effleura un instant, mais la douleur te revint aussitôt, alors qu’une patte se posait sur ton flanc ; et qu’une voix malsaine résonnait.

    « Pourquoi maintenant, Alizé des Croisées ?

    « Et pourquoi pas demain ?

    « Il faut la tuer.

    « Essaye seulement. Elle a déjà été punie... Le clan des étoiles est sur elle, à présent.


    • « • Des griffes s’enfoncèrent dans ton flanc ; et tu n’en retirais qu’une atroce douleur ; mais tu ne miaulais pas ; mais tu ne miaulerais pas. Nuage de Haine. Tout en toi bouillonnait de se sentiment interdit. Tu refusais ce qu’il t’arrivait, tu n’y comprenais rien ; personne ne te demandait rien, alors que tu étais là ; en ce monde en ce moment même !

    • « • Tes yeux s’ouvrir d’un éclat net et découpé ; dans cette nuit oubliée… Ils irradiaient ce sentiment que tu ressentais depuis ta naissance ; en toi, il bouillonnait tel le combustible de ta vie. Ton cœur se reforma peu à peu, devenant aussi noir que la nuit ; et au contraire de ta sœur blanche et fauve, toi son contraire, son opposé se rebellait ; comme tu l’avais toujours été.

    • « • D’un bond tu sortais de son emprise ; sans un bruit ; sortant tes griffes ; te cachant de la nuit ; t’éloignant des regards ; tout en toi hurlait de haine ; et cela ; tu ne leur pardonnerais pas…

    • « • Mais étrangement, personne ne parlait ; ils étaient tous là, plus grand que toi ; lui par dessus tout ; lui… Lui te regardant. Il avait des yeux si profond, si stérile d’émotion ; et pourtant… Et pourtant tu le comprenais. Tu avais les mêmes yeux que lui ; et vos rétines s’unissaient à la perfection. Tu comprenais…


    • « • Le temps passa, et ta vie débuta dans ce clan inconnu… Ce… Père inconnu devint ton mentor ; personne ne voulant de toi, il t’apprit ce que personne ne t’avait jamais appris, ton cœur se noya un peu plus chaque jour dans les brumes de l’enfer ; et il n’y pu jamais rien… Tu avais déjà des lunes d’avances sur les autres apprentis ; ayant un mode de combat plus approfondis, spécialité de ton… Ancien… Clan.

    • « • Comment leur dire ; a eux, ceux qui ne te comprenaient pas ; que tu étais sensé être guerrière ? Personne ne voulait t’entendre, te parler ou bien même te regarder. Et chaque nuit ; les souvenirs t’assaillaient ; chaque nuit ; l’obscurité revenait ; et le sang régnait. Chaque aube, tu te réveillais essoufflée, dans ton coin ; réveillant la plupart des apprentis ; mais tu ne flanchais pas ; tu te relevais, droite fière, les toisant d’un regard emplis de haine… Alors qu’en toi tu souffrais tellement.

    • « • Le temps passe ; et cela fait déjà plusieurs lunes que tu es là ; la mélancolie te prend, et tu ne peux t’empêcher de songer à… Elle. Elle et sa joie perpétuelle. Elle et ses chants envoutant. Elle et ses rires puérils. Qu’était-elle devenue, depuis cette nuit perdue ?

    • « • Tu étais loin de te douter que vous aviez emprunté pour la première fois un chemin semblable ; un chemin solitaire et oublié. Tu étais loin de songer, que pendant que tu te cachais sous un mur impénétrable de mensonge et de haine illusoire ; elle, se perdait dans une brume solitaire et dans des tristesses abyssales.

    • « • Le jour de votre nomination fut le même, alors que vous étiez séparées par des années lumières. Et le verdict tomba identique pour vous deux ; quelque acclamation ; des regards hésitants, dont l’un vraiment fier uniquement.

    • « • Alors que ton regard emplit de haine s’approchait vers ton chef ; alors que tes doutes et peines éclataient au grand jour, tu observas ce ciel que tu avais ignoré si longtemps… Et en toi la lumière vint ; en toi la réalité explosa ; en toi une certitude naquit. Et alors qu’elle allait recevoir le nom maudit, tu allais recevoir la bénédiction des étoiles.

    • « • Tu ne su jamais pourquoi ni comment ; mais à l’instant ou il allait prononcé la malédiction éternelle, ton cœur blanchi ; se purifia d’un coup d’un seul ; la flamme de haine dans ton regard s’apaisa ; et les océans même devinrent flaques. C’était la première fois… Et sans doute celle qui tourna le sort.

    « Fastes Quiétude.

    • « • Ils avaient parlé en même temps ; lui… Et... Lui. Deux êtres qui ne c’étaient jamais aimés ; deux êtres absolument différents… L’un était ton chef ; l’autre était ton père. Tu en restais muette alors qu’une résolution inaudible se faisait. L’on commençait à t’acclamer.

    • « • Il était mourant ; et tu n’y pouvais rien ; pourquoi avait-il le mal blanc ? Pourquoi ne s’en remettait-il pas ? Pourquoi s’étouffait-il en ce moment ? Ces yeux te fixaient, et une question te brûlait. Tu étais égoïste, tu n’y pouvais rien.

    « Pourquoi… Pourquoi mélanger les souvenirs au calme ? Pourquoi n’avoir pas continuer cette malédiction qui est mienne ?
    • « • Car tu n’étais plus la même. Car tout en toi n’était qu’illusion, car ta vie ancienne n’était qu’un souvenir ; et qu’il avait été serein. Car tu n’avais pas à devenir une étoile noire ; car le destin même pouvait changer. Et tu le compris lorsqu’elle t’annonça qu’il n’était plus… Parmi ton monde.

    • « • Vos chemins ; à elle et toi se recroisèrent un l’instant même, en vous raisonna un souvenir ; deux noms, deux mélopées ; deux promesses. L’une se nommait Fragments D’Incertitude ; elle était humble et pleine de remords… L’autre se nommait Fastes Quiétude ; elle était nerveuse et fière ; triste et solitaire…

    « Quels seraient vos futurs ?…


    Liens Familiaux & explications ;


« Tout d’abord, je tiens à élucider vos méprises à propos du nom Fastes Quiétude…
Non, ce n’est pas Faste, mais Fastes. Se sont deux mots totalement opposés qui ne veulent pas dire la même chose ! Un objet faste, est un objet de luxe ; une personne faste, est une personne plaisant. Alors que Fastes n’est pas un adjectif qualificatif. C’est un nom ; il désigne les chroniques, les archives et les recueils de vie. Quiétude est un synonyme de paix. Fastes Quiétude signifie donc un passé paisible. C’est totalement opposé à elle même, mais il est en rime avec la haine.

« Après, Nuage de lune est la sœur de Nuage de Haine. Soit, Fragments D’Incertitude la sœur de Fastes Quiétude. Leur mère, comme dit dans l’histoire de Maybe, est morte suite à leur mise à bas. Dans l’histoire de Maybe, il n’est pas mentionné l’existence d’un quelconque père ; il ferait donc partie du clan du vent. Alizé des Croisées. Je vous laisserais découvrir le nom de la mère une autre fois :3. Lors de la bataille contre les chats errants, le mentor de Maybe décéda. Maybe retourna à son clan, mais le père des petites, récupéra nuage de haine qui s’était trainée jusqu’au quatre chaines (et oui, c’est ça quand on a aucun sens de l’orientation !). Qui sait ce qu’il est allé s’imaginé en trouvant la petite toute pleine de sang ; hein. o/

« Voilà voilà, j’ai expliqué ce qui me tenait à cœur. Je vous préciserais que Fastes Quiétude à tous les droits d’être dans le clan du vent, car elle a un père qui y est. L’histoire n’est pas au présent, car maintenant, Maybe est chef, alors que dans l’histoire, elles sont tout juste nommées. C’est un peu incompréhensible, pardonnez moi, hein °° J’écris pas vraiment bien… ;c

•• Autre ;

    Disponibilité ;
    Comment avez vous découvert le forum? ;
    Votre avis sur le forum ;

    Codes du règlement ; Good, la Madame que j'aime. ♥



    Prénom ; Maybe o/
    Age ; 15 ans.
    Niveau en RPG ; Mince, Mouche est plus là pour me coller une étiquette sur le front ! :c J’ai un niveau moyen moyen moyen, je dirais.


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MessageSujet: Re: Fastes Quiétude •• Finis •    Fastes Quiétude •• Finis •  3horlo10Sam 18 Fév 2012 - 22:02

MON DIEU.
Que tu es rapide, que cette présentation est belle, que je suis émue, que je vais te valider .. * * HAN, quoi ! Re - Bienvenue ici, au plaisir de RP de nouveau avec toi, et surtout avec Fafa. ♥

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MessageSujet: Re: Fastes Quiétude •• Finis •    Fastes Quiétude •• Finis •  3horlo10Dim 19 Fév 2012 - 18:50

    Maybeeee ! Très belle présentation, je la lirai un de ces jours. Fastes Quiétude •• Finis •  366781642 Et en plus c'est une membre du Vent. \o/ Superbe signature, bravo Puru.

    EDIT : Merci, Destin. Fastes Quiétude •• Finis •  366781642

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MessageSujet: Re: Fastes Quiétude •• Finis •    Fastes Quiétude •• Finis •  3horlo10Lun 20 Fév 2012 - 11:06

Merci Ma Souris Grise °°
BIDUUUUUUU ! *hug*

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MessageSujet: Re: Fastes Quiétude •• Finis •    Fastes Quiétude •• Finis •  3horlo10

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