Fragments Étoilés Curieux.euse.
Date d'inscription : 25/02/2011 Nombre de messages : 345
Mes personnages Description:
| Sujet: Elle arrive.. ‹‹ Preuve du Contraire ‹‹ Ven 13 Juil 2012 - 14:02 | |
| •• Promesse ♪ « Ils arrivent.. » « Car des promesses ne peuvent être tenues.. » « Car l’espoir reste et que certaines deviennent réelles.. »
| • Preuve du Contraire ;
Patte Inverse, Envers du Nuage, Preuve du Contraire, Gage Étoilé. • Age ; 32 lunes • Mâle ou Femelle ? ; Femelle. • Clan ; Tonnerre • Rang ; Guerrière |
• Physique ;
« Ceci est un appel.
« Soupir parmi les nymphes… Tu es venue, tu as quitté l’éternité. Un mouvement dans la nuit, un sourire distinct.. Ils prennent peur, ils s’enfuient. Qui es-tu ? D’où viens-tu ? Les déesses t’ont donnée la beauté, elles t’ont fournie un atout de taille. Le poète clos paupières, il t’imagine une fois encore. Sa passion ne descend pas, elle parcourt ton corps dans un frisson de plaisir, tu agonises. Deux opales foudroient le silence, ton regard est le monde, ton regard est la foudre. L’or coule alors que l’ambre s’estompe. Tu n’es qu’un mouvement, qu’un bruit insonore. Le silence est ton mot, tu franchis la limite alors que la lune d’une étreinte suave capte ton éclat. L’ébène foudroie mais l’on n’y voit. Tu n’es pas l’obscurité ; tu es bien plus veloutée. Tu es un rire, tu es un ton. La vie t’émoustille, la vie bouillonne en ton être. Le gris est subtil, si d’ocre qu’il s’en éprend aux ténèbres… Mais quelles ténèbres. Tu es un mélange, tu es un tout. Les étoiles ont posé sur toi un baiser sacré. Ta fourrure oscille entre deux couleurs, tu es unie alors que ton corps résonne de milles échos. Alors vient le sombre saut. Le plongeon vertigineux vers l’abysse des dieux aux maléfices. Alors ils prennent peur, alors ils fuient. Tous. Tous sauf un. Tous sauf lui. De toi émane une aura si étrange, seul le poète la comprend. Seul lui sait contempler cette étincelle brulante et vive. Ce diamant brut encore inexploré. Eux hurlent. Tu sembles si lointaine, si effrayante.. Alors ils imaginent, et tout devient réel. Ils pensent voir en toi le démon né, ils semblent apercevoir la nuée sombre voletant autours de ton être. Ils pensent apercevoir de tes yeux le démon. Ton aura semble si forte et tes actes si dangereux. Un pas à leur encontre, certains te supplient du regard alors que d’autres détalent. Tu soupires, ton cœur martyrisé ; tu n’es qu’une nymphe. Tu n’es que la beauté de ses célestes. Mais cette beauté est devenue mortelle. Mais cette beauté fait mal. Mais ils prennent peur. Tu es puissante. Tout ton corps est forgé dans la vitesse et la force. Tu es svelte, mais chaque parcelle de ton corps noué à l’extrême dans l’attente d’un mouvement. Tes pas contenus dans le silence résonnent. Et pourtant.. L’on en croirait à la souris la simplicité de ce bruit. Tes griffes scintillent, meurtrières, faucheuses d’âmes. Rétractées, elles sont si longues que l’on peut entrevoir leurs éclats sombres, mortels.... Dangereux. Tu es devenue mortelle pour un saut final, pour sauver le destin du chaos. Tu es venue pour briser le cercle. Tu es venue pour vivre ; et ta beauté n’entravera pas ta vie.. Et ta force n’engendrera pas ta mort. Tu es un cœur. Un cœur à l’attente de la dernière danse. Tu es la reine danseuse, la surprise finale.. Tu es Preuve du Contraire.
• Caractère ;
« Car dans cet univers des larmes ne sècheront jamais..
« Fugace sensation, sensibilité déchue… Perte inaudible. Ton cœur est ouvert, ton cœur se meurt. Leurré durant tout ce temps, perdu des étoiles. Il a été recherché, il a été violé. Béant il saigne, fendu il tombe, sincère il pleure. Des sanglots dans ce monde il y a, mais ceux ci sont si purs, si francs que les étoiles versent une larme envers ton être vulgairement bafoué.. Et tu deviens divinité. La pluie tombe, arrose ton corps épuré. Le malaise s’estompe ; la rancœur dégouline. Tu es une machine à cœur ouvert, une blessure perpétuelle. Si pure, si amoureuse. Tu es un ange tombé des cieux, un ange dérobé par les nymphes et vendu à la vie. Tu es une personne incomprise, tu es une personne qui s’incline. Mais à quel point ta gentillesse flamboie ? De tes rires sort l’émoi de ton culte dévoué. Amour, passion, idylle. Tout en toi respire la verdure, tout en toi inspire le mystère. De tes pores sort la tendresse des jours passés, de cela nait ta beauté. Alors elle survie, alors elle tombe, foudroie le monde de son regard. L’effroi balaye l’émoi. Les questions se posent. Tu es une nymphe.. Mais.. Et si la nymphe était monstre ? Et si Morphée sortait poignard une fois monde enter endormi à ses pieds.. ? Tu es la peur des autres, le souffle glacé parcourant l’éniche des croyants. Tu sors dans la nuit alors qu’ils courent contre le vent. Ils fuient les rêves et s’engouffrent dans de sombres cauchemars. Pourquoi sont-ils si stupides.. ? Mais les illusions persistent, mais les questions fulminent. Et si ce statut si haut placé s’engorgeait de pourpre ensanglanté ? Les hurlements fusent alors que ces piètres individus songe à ce dernier vers, leurs yeux fuient le monde alors qu’ils se précipitent vers le gouffre, vers leur fin.. Des sentiments comme amplifiés, une force brutale.. Tu es le diamant brut introuvé. Tu es la déesse incarnée, le somptueux mirifique inassouvi.. Mais de cela contraste à cette panique densément peuplé que tu crées chez les autres.. Les couards, les lâches ! Tu n’es qu’une âme béante, un cœur ouvert à tous. L’irrépressible hirondelle heureuse, la simple fleur éclose. Amour éperdu, âme que seul poète devine entre la brume… Entre les brumes. Le fait se creuse, es-tu un monstre ? Tes babines tachées, le rubis dégouline.. Le fauve nait en toi. Prend-t-il assaut en ce moment de la montagne qu’est ta volonté ? Le monstre qu’ont les étoiles en elle s’éveillera-t-il ? Sombreras-tu en lui, deviendra-t-il toi l’espace d’un instant alors que ton instinct de survie sera à son plus haut niveau ?.. Tu es l’insaisissable utopie, la chimère des mirages.. Le château haut du céleste. Tu es toi, tu es là.. Tu arrives. Pauvre cœur ouvert agonisant à l’air. Le sauvage immortel est ton incarnation, tu es la spéculation, l’amour, la joie et la peur. L’anxiété d’un rêve inachevé. La question que personne n’ose poser. Tu es celle dont l’on prend peur. Tous s’éloignent, le fossé est maintenant creusé. Des nuages restent à tes côtés, des âmes osent t’approcher ; tu sembles hurler ta douleur alors que tes yeux s’embuent de promesses bafouées. Tu as été violé par milles préjugés. Tu es la vision de l’extase céleste.. Non.. Tu es l’immensité de l’existence peuplé de ces créatures oubliées. Mais le sombre trouble, mais les interrogations dérangent et le monstre peut sortir. Sans doute est-il déjà là, sans doute nous observe-t-il d’un regard désabusé.. Sans doute nous entend-t-il. Il se moque, il rit, il tempête et s’emporte. Il attend le bon moment, il attend la faille... Il attend que le tableau sombre, que la bonté se déchire et lui laisse place, à lui le roi des ombres.. Alors un sort bien pire que la peur régnera, alors le désespoir s’abattra. Mais malgré nos pleurs, nous ne seront les maudits. Mais malgré la souffrance ultime, nous ne serons les premiers de la liste. Ô affliction, ce sera elle. Ce sera toi. Ô toi reine des contrastes, des rêves et des songes. Toi le dernier secours, la dernière barrière à sa folie. Nous décevras-tu ? Ô Preuve du Contraire…
• Histoire ;
- Spoiler:
« Le secret est lourd... La responsabilité écrase. « Dans le monde certains vivent heureux, insouciants du temps qui passe. Dans ce même monde d’autres s’acharnent à la vie, se lamente d’un passé que trop lourd et essayent avec timidité de sourire au lendemain brûlant. Et dans ce même univers, d’autres plient les règles… Dans ce cosmos si étrange leur volonté est si puissante que leur avenir est indescriptible, que les étoiles se penchent sur eux et les écrasent d’une responsabilité sans égale. Les attentes sont alors monstres. Leur passé importe peu, le secret les étouffes.. Mais rien ne les entraves, ils sont si forts, ils sont si sur que la surprise ne peut être que le sentiment principal de ces hauts dieux les observant. Dans leurs dos leurs poussent des ailes, dans leurs yeux se reflètent les cieux. Ils sont les nymphes devenues réelles. Ils sont ceux qui n’ont pas étés choisis.. Mais qui sont bien plus encore. Ils sont ceux qui créent autours d’eux la vie, ceux dont le sourire effraie ou emplit d’émois. Ils sont ceux de l’envers, ils sont ceux de l’inverse. Ils sont l’envers du nuage, la preuve manquante. Ils sont ceux ou tous auraient du les faire flancher alors que d’eux même, de cette force magnétique entravant le mot destin.. Ils ne se contentent que de vivre heureux. Ils sont eux.. Et de ses rares étoiles en brille une, de ce céleste se démarque la plus brillante. Son ombre pèse au dessus d’elle, le lourd secret l’emporte alors que la responsabilité l’écrase.. Mais de toute, elle est la plus brillante, celle qui ne saura pas comme l’on veut.. Celle qui restera ce qu’elle est. Elle arrive… La Preuve du Contraire est en route.
« Peur. Peur et désarroi alors que ton cri détonne dans l’horizon. Des paroles fusent et des voix éclatent, la douleur hurle et ton cœur s’ouvre en deux. Ton âme se fend alors qu’il agonise, et pourtant en toi seul reste l’instant de solitude. Tu apprends à naître dans ce monde seule et une question subsiste : apprendras-tu les armes dans cette même solitude brûlante ? Bruit sourd dans la lande de pas qui s’éloignent alors que quelque chose tombe.. Un chuchotis résonne doucement pour devenir en toute surprise le murmure d’un halètement puissant. Tes paupières s’éclosent alors que son souffle se mêle au tien… Elle est là, immuable et fière. Ta vision se trouble et tu prends un instant peur face à la béatitude qui t’envahit. Qui est-elle ? Si grande, si puissante. Elle inspire le respect et dans ses yeux l’éternité y est. Elle est Nuage de Lune. Elle est ta mère. Celle qui veillera sur toi, dans la peine comme dans la joie.
« Ne rien dire. Silence et responsabilité alors que se secret père et que tu te blotties au creux du ventre de ta nouvelle mère. Tu n’oublies pas, le mensonge ne te trompera pas. Tu es la joie de la nymphe et sous ton frêle poids déjà plie l’inverse du destin. Il se courbe et t’abandonne… Mais il reviendra et se vengera. Nuage de Lune a murmuré deux mots à cette reine quelques jours plus tôt.. Et les étoiles se plient, et le secret persiste. Déjà si petite, et déjà si puissante. Le souffle te manque. Oh Patte Inverse. Tu es l’inversement même de la logique. Alors que déjà le poids devrait te mordre au plus profond de ton âme, la joie de la vie rayonne aux travers de ton regard.
« Tu n’es plus la fille de Nuage de Lune. Ivresse des Ondes est à présent celle que tu dois nommer mère. Mais le mot ne veut pas, mais le mot ne peut pas. Déjà qu’elle est si loin, ne t’avait-elle pas fait promesse ? Ses mots n’étaient pas sortis un instant, jamais elle ne t’avait adressée parole, seul ton nom était sa religion. Tout était... Si loin et si proche. Tous te croient fille d’Ivresse alors qu’en toi le secret ploie. Tu ne lui as toujours pas parlé et seul le regard entre vous deux est lourd se sens. Seule toi sais y voir clair et son regard est la porte à son âme. Elle est infranchissable, mais pas pour toi tu y vois clair : en elle une déchirure reste, en elle l’amour hésite.. En elle la joie est là. Oh mère. Ô Fragments D’incertitude pourquoi tant de douleur alors que dans mon ventre, les papillons veillent ?
« Les saisons se succèdent, elle est si loin, elle est si forte. Elle, la déesse des vent, toi la nymphe des étoiles. Ils ne voient pas, ils ne savent pas voir. Mais de tes yeux d’innocente tu vois le regard que lui lance le céleste. Ils sont étourdis, ils sont sonnés. Fragments d’Incertitude est née… Et quelque semaine tu lui succèdes. Déjà qu’elle devrait être si loin, déjà qu’elle devrait être inaccessible tu vois en elle la fin de l’abysse et le retours du gouffre. Ô Envers du Nuage.
« Le poids sur tes épaules est toujours si fort. Toi et l’inversement qui est en toi, la joie te déborde alors que tu sembles si sage. La voix tonne alors que tu sursautes, la nomination débute alors qu’une autre riposte. Elle refuse, elle ne te souhaite pas. Tu ne seras pas son apprentie et de tes yeux les larmes ne sortent pas. Tu es distante et le processus s’éclanche, le destin se venge. Ils commencent à trembler, ils commencent à ressentir cette anxiété à ton égard. Martyr d’Amour prend la place de ta mère dans le rôle de guide envers la voie. Un murmure protecteur fuse alors que tu comprends qu’il sera ton mentor, le bonheur te déborde..
« Dans mes oreilles le cri résonne, je me retourne lentement et le vois un instant reculer face à moi. Pourquoi fuit-il ? Il me contourne pour aller se jucher en haut du promontoire, quel lieutenant étrange… Pourquoi a-t-il peur de moi ? Sa voix fuse alors qu’il explique la guerre, l’assemblée se trouble et quelques minutes plus tard nous sommes en route. Je ne sais quoi penser et sans le céleste je ressens comme une pression sur mes épaules. Qu’attend-il de moi, que me veut il ? Un regard en biais à celle qui ne me donne pas son du. Qu’elle est belle, qu’elle est grande. Tout en elle est mystère, et ses mouvements fluides se calquent aux miens. Ou serait-ce l’inverse ? Comment peuvent-ils ignorer cette ressemblance entre nous, alors que nos corps l’hurlent ? Je n’ai le temps de réfléchir, nous sommes arrivés, et mon cœur se serre.
« La mort scintille dans tes pupilles. Ils sont deux sur toi, deux guerriers à la taille démesurée. Vas-tu mourir, vas-tu périr ? Alors il te vient à l’esprit, alors tu te rends compte de son existence. Il est là.. Il murmure à ton oreille, il est la peste, il est la mort.. L’instinct de survie va bientôt te vaincre. Tes paupières se closent.. Et un autre arrive. Un couinement de douleur chez l’un des imposteurs et la partie sombre de ton être se recule dans une promesse de mort. Tes yeux s’éclosent.
« Que dire de cet instant ? Le moment où je pris conscience de cette chose en moi mêlé à la révélation de cette histoire sur le point de commencer ? Je me souviens encore de son regard aussi profond que la mer et ses tréfonds.. D’un bond il avait sauté, d’un geste il avait fait reculer l’impossible, ses yeux dans les miens à jamais gravés dans le fer de cette plaine austère. Je souriais alors que lentement je me retournais vers l’autre colosse en face de moi. Il semblait si grand, et pourtant… Le calme retombé il semblait me toiser avec effroi. Qu’avais-je sur moi ? Ton regard perdu dans ma soit disant beauté et je le sentais frémir. Pourquoi incitais-je cela chez les autres ? J’attaquais alors qu’il se baissait, mais le calme revenu, il ne m’aurait eu. Je lui éraflais le flanc et alors qu’il se retournait, j’étais déjà derrière lui. Ô mère, pourquoi me laisser si injuste héritage ?
« Les chats se regardent un instant. Un corps jonche le sol, un corps que tu reconnais. Un corps à présent méconnaissable, et en toi il grandit, en toi il bondit. Ô pourquoi devait-ce être à son tour de périr ? En toi il murmure, il te propose de devenir lui. Mais le regard de cette chatte te percute. Mais son regard te ramène au monde réel. Un gémissement trompe le silence.. Est-il tien ? Ô Ivresse des Ondes, pourquoi devais-tu en venir à mourir ? Un tremblement te parcours et enfin elle approche. Celle qui jamais ne t’a plus parler, celle qui jamais plus ne t’a touchée. Elle est devant toi, tes yeux dans les siens. Sa peine est grande, non.. Immense, mais par dessus ce néant l’amour est devenu certitude. Ô Fragments D’Incertitude, pourquoi une étreinte si triste.. ? Ton corps s’affaisse quelque peu alors qu’une larme point à tes yeux.
« Ils ont peur. Ils ont tous peur. Ils te fuient. Qu’ais-je fais de mal ? Pourquoi l’on m’évite, pourquoi l’on murmure à mon dos ? Cela importe-t-il vraiment que je sois la seule à n’en sortir sans aucune plaie ? Sans son aide, sans cet inconnu sauveur je ne serais plus, alors pourquoi tant de rancune dans vos cœurs ?
« Je veux ma requête, je veux mon du.
« La phrase tonna alors qu’il se jetait sur toi. Le destin c’était vengé et ton mentor voulait ta mort. Jamais tu n’avais su qu’il était l’amant de ta mère d’emprunt. Et maintenant blessé de sa mort, il reportait sa haine sur toi. Sa fausse fille. Tu fermais les yeux, ton cœur battant dangereusement, et alors qu’il était sur toi, il s’éveilla.
« Tu es arrivée hier au soir dans le camp, ton pelage strié de sang tu étais méconnaissable. Alors que tous pensaient que tu allais t’effondrer, j’ai perçu en toi quelque chose.. D’étrange. Alors qu’eux obnubilés par ton physique ensanglanté et pourtant sans une entaille j’ai ressenti cela en moi.. La peur. L’appréhension. Je n’ai pas peur de toi, je n’ai jamais eu peur de toi.. Quelque chose n’allait pas. Tu n’as pas prononcé un mot et une larme a roulé sur ta joue rebondie, s’imbibant de sang. Suite à cela, tu es allée te coucher.. Et tous ont compris qu’il était mort. Comment ? Ils se l’imaginent, mais n’osent pas penser au pire. Mais en toi je vois. J’avais vu son regard à ton égard, mais penser qu’il irait si loin… J’ai compris de mes erreurs. Je ne suis pas une étoile, je ne suis que moi, mais à présent je serais là.. Mon coeur.
« Un discourt si long que tu n’en avais jamais entendu de pareil. Il était si simple et si profond. Elle était dénudée de toute facette et sa mine peinée s’ouvrait à toi alors que vous étiez perchées en haut du clan. La douleur s’éprit de toi un court instant, une deuxième larme baigna ta seconde joue vierge. Elle t’avait nettoyée toute la nuit. Elle s’était occupée de toi. Elle était là.. Et le soir même les étoiles vinrent à toi. Et tu en ressortis que plus calme. Alors enfin la peur les pris, alors enfin la peur se fini. Tu étais devenue la menace. Ils n’osaient te regarder. Et pourtant.. Tu ne te sentais pas piégée. Ce n’était pas toi qui avais tuée. Tu en étais certaine. Tu ne l’avais pas tué. Ton instinct avait agit, mais tu n’avais pas tué. Quelqu’un avait tué à ta place. Tu levais les yeux aux étoiles… Qui ?
« C’était un jour aux miracles. Un de ses jours d’automne où les feuilles miroitent et que la forêt chante. Tu étais assise au bord d’un ruisseau, ton regard éprit d’amour parcourant le monde, les oiseaux roucoulaient milles mélopées alors qu’enfin je me levais pour m’abreuver. Comment décrire cette sensation ? Celle que vous n’êtes plus reine de vos choix ni de vos actions ? Cette impression que de la haut, les ancêtres tirent ficelles pour ce faire pardonner.. Je levais les yeux pour les poser dans les siens. Simple regard fugace, cœur qui s’emballe. C’était lui, je le rencontrais enfin. Mon sauveur, mon diva. Il était là, à demi courbé par l’action, à demi réel. Sur son poitrail dansaient deux ailes alors que sur le mien n’étaient présents que les reflets de son regard. C’est à ce moment là que le ma destinée devint incontrôlable, sans doute. Peut-être suis-je en train de me tromper, peut-être n’ai-je jamais été contrôlée depuis ma naissance par ce mot volé. Mais devant la grandeur de ses pupilles, devant son être et sa grâce.. Je me retrouvais en lui. Une part cachée, sans un mot, dans un échange nous nous disions des romans. C’est ainsi que c’était finie ma journée égayée, c’est ainsi que j’étais rentrée chez moi, de ma partie de la rivière.. Avec se sentiment de déchirement complet. Séparés.
« Ô Oiseau Conteur. Quand je te revis à l’assemblée mon cœur emballé s’empourpra de plaisir alors que je bondissais à ta rencontre. Tant de simplicité dans mes gestes, la vie était une chose sur la quelle j’aurais pu philosopher des heures. Elle était si riche, si belle et si douce. Tout en moi cirait la grâce, tout en moi enviait la gentillesse. Si quelqu’un avait besoin d’aide, j’arrivais.. Bien que l’on n’ose s’approcher de mon entité. Ce fut lors de notre dernière rencontre, à cette même rivière que nos avenirs furent promis. Un rêve commun, une envie sacrée. Je lui avais révélé ce que personne ne devait jamais savoir. Je lui avais expliqué mon envie, mes désirs. Et ensemble nous avions promis. Comment dire.. Pour moi, le passé ne peut être changé.. Comment expliquer ? Le vécu est passé et le passé inchangé. Depuis que sa rencontre, je me suis sentie arquée vers l’avenir. Tout s’en est fini de mes sombres pensées venant de temps à autre. Avec lui, j’eu toujours été celle que j’étais. Celle que je suis encore aujourd’hui. La vie est un monde étrange, un monde dur. Alors comment expliquer, malgré ses caprices envers moi ; la façon dont je l’aime ? Tout est si beau, tout est si fin. Mon corps sur son être, ma couleur dans la nuit. Le souffle sur mon éniche. Vivre est un met dont je ne me lasse pas, dont il ne se lasse pas. Il est si précieux pour moi. Mon seul ami, mon véritable ami. Ses paroles sont telles que les étoiles devraient s’incliner devant une telle pureté, une telle simplicité profonde. D’un regard je lui dis des romans, d’une esquisse je lui explique mes rêves.. Et vise vers ça. Nous ne nous sommes vu que trois fois. Trois fois si longues et pourtant si courtes. Elles sont devenues pour moi des mets illimités dans le temps. Je vis dans le présent, et même si cette voix en moi me brûle, l’amour que je porte à cette vie ne changera pas. Le passé est révolu, il n’est qu’un brouillard lors des jours de pluie. La peur n’existe plus et le soleil est mon ami. Je ne me sens pas égoïste de dire que cette peur terrifiante n’est plus pour moi, alors que je l’inspire à tous. La peur est devenue le nom que je donne à cet être en moi. Et même à présent, je ne pense qu’à vivre mon aujourd’hui et à explorer mon lendemain.. La seule attache au passé est la dernière rencontre que j’ai eue avec lui. Lui. Un songe persistant, un sourire qui ne me quitte pas. Il est mon précieux et véritable. Il est éclatant et brille de milles éclats. Il est lui.. Et c’est tout ce qui compte. Nous nous sommes fait promesse. Promesse d’atteindre ensemble le but que nous a tracé les étoiles. Il croit au destin, alors que moi je n’y pense pas. Une différence entre nous, qui ne nous rapproche que d’avantage. Ensemble la promesse dit que nous monterons en haut. Il est le seul à savoir. Le seul à comprendre mon sentiment. Le seul à comprendre et à connaître ce besoin que j’ai d’être moi sans la comparaison qui s’opère entre elle et moi.. Dire qu’elle est maintenant si éblouissante.. Elle m’a toujours épaulée, depuis ce certain jour passé. Et maintenant au dessus de tous, elle règne comme reine. Les étoiles ont bondi, je les ai vues à travers la nuit, quand elle a reçu le message sacré. Je m’imagine dans le rire sa réponse butée et intelligente, son mystère persistant et se brouillard qu’elle crée sur son passage. Les étoiles ont du être bien surprises.. Oh que oui. Cette simple pensée me fait rire aux astres.. Ma mère est un mystère pour tous. Elle reste comprise de deux personnes.. Sa merveilleuse lieutenant et moi même. Moi qui arrive à lire en elle comme dans un livre ouvert, elle me semble si jeune.. Si forte.. Tant à apprendre, tant a vivre. Je suis guerrière depuis quelques lunes à présent. Je n’ai pas revu mon cher ami depuis si longtemps.. Que devient il, dans l’obscurité de la mère nuit.. ? Pense-t-il a moi comme moi à lui.. ? Mon rire éclabousse le temps alors que je m’éprends. Demain sera un nouveau jour. Qui sait si je ne reverrais pas cet inconnu de l’ombre.. ? Qui sait si je ne vivrais pas à nouveau son regard contre le mien et cette agréable sensation mêlée à l’appréhension d’une joie nouvelle ? Je ne sais pas. Je ne suis que moi et demain est encore inconnu.. Seule compte la vie et dans la vie, tout compte. Je me présente, je suis Preuve du Contraire et aujourd’hui est un nouveau jour.
« Mais elle ne le sait pas. Mais elle ne le voit pas. Les étoiles versent une larme alors que le fardeau qu’elle porte est plus grand que jamais. Elle ne restera pas ainsi. Elle ne restera pas boule d’amour et de haine. Elle est à présent nouvelle. Une chose va changer, l’éclair va tomber alors que le vent soufflera et que l’ombre s’étendra. La rivière débordera et les cieux pleureront injures et sacrifices. La lune est tombée, le sang a coulé. Alors tu es là. Alors tu n’es plus toi. Tu es elle. Elle est toi. Cette chose te possédant. Tu es en haut de la colline, la foudre s’abat alors que ta mère se soulève. Mais cela est dorénavant si loin. La part d’ombre s’étend dans ton être, et alors que tu lèves les yeux vers ceux qui t’observent ; ton avenir s’embrume de milles éclats. Joie, cris, désespoir. Elle arrive. L’amour en son cœur est si grand qu’il éternisera la stèle des clans tombant. À quand le soleil ? Quels seront ces choix.. Tout commence maintenant.. Elle arrive…
« Non… Elle est déjà là.
• Goûts, craintes, rêves, projets, liens.. You ;
« Les nymphes sont en colères alors que les dieux se soulèvent… Les déesses sont devenues mortelles ; le souffle est né des voies lactées.
« Parmi les étoiles est tracée une voie, un chemin inviolable que les comètes observent avec fascination. Cette voie illuminée est un signe, ce chemin écorché est une destinée. Alors pourquoi ce tout tracé inspire cette fascination mêlé de crainte qu’éprouvent ces étoiles brûlées ?.. La fatalité est souvent signe du destin, la résignation est un sentiment récurent, et pourtant.. Et pourtant ce sentier brille tant qu’il aveugle ces fades termes, et pourtant ce passage semble libre… Et alors qu’il semble être figé les forces bouges, les rivières courbes pour le laisser se modifier. Des cris de stupeur fusent dans ce haut ciel alors que de nouveau perturbé, le chemin module sa route et poursuit sa piste sans itinéraires. Qui est cette personne aux pouvoirs et à la volonté plus forte que le funeste ? Qui est cette lumière aux obscurités si dense que la peur s’efface et laisse place ? Alors l’une des étoiles sourie, alors un suave murmure fuse et des regards s’échangent. L’on comprend et l’on rit.. Alors que l’instant passé, alors que la passion devrait tomber, les esprits ne sont que plus embués.. Et éprit d’un désir sans extrémité ils ne se penchent que de plus belle vers cette bordure sans cadre. Vers ce destin irrépressible.. Vers cette volonté sans lisières. Cette chatte est nouvelle, cette chatte est surprenante.. Elle n’est qu’une Preuve du Contraire.
« Ton égayement pur s’égare au loin alors que les oiseaux chantent diverses mélopées. Ton regard empli d’amour effleure la forêt que tu aimes tant, au loin les pleines verdoient et ton cœur s’emplit d’émois. Ton cœur est ouvert au monde, tes sourires sont le baume au cœur et la peur que tu inspires qu’un passage trouble de tes journées illimitées. Le temps. Le temps est une passion, tu penses, tu vogues. La vie s’ouvre à toi, tes sourires se perdent et ne s’offrent qu’à bons senteurs. Tu es un rêve et ce mot est ta passion, tu es le poète et tu aimes ce mot. Tes goûts sont infinis sans, et parmi cette grandeur ne reste qu’un terme. L’amour que tu portes à la vie est indéfini. Tu es la paix, tu es la joie. Tu es bien plus qu’un terme… Tu n’es autre que toi.
« La mort ne te fais pas peur. La vie ne t’effraie point. Le lendemain n’augmente ton anxiété en rien et le passé ne peut être changé. Tu es un de ces êtres vivant au jour le jour ; plongé dans la vie et perdu dans les rires. Tu es celle qui fait peur, celle qui aime. Tu es le tissu de vérité parmi les moutons blancs de mensonges et d’impuretés. Et si les moutons étaient noirs ? Et si l’impureté devenait blanche ? Des questions, que trop de questions. Ton rire s’effuse et tu sombres. La peur de lui, la peur de toi. Ou plutôt.. Ce qui a en toi. Tu ne trembles pas, tu sembles ne pas connaître son existence.. Et pourtant au plus profond de ton être la terreur sourdre hurle au néant. Il arrive.. Il viendra. Tiendras-tu face à sa haine puissante et au sang qu’il aime tant ? Le mot peur devient si fade que tu ne prends plus frousse à tout bouge à vent. Ce mot t’est inconnu et même la douleur ne te fait rien. Seule reste cet être en toi qui te murmure ce qu’est la terreur, mais l’habitude persiste alors que tu clos les yeux sur cette voix couleur grenat. Tu reprends ton sourire et éclate de rire.
« Les rêves sont en toi, les rêves sont ton existence. Tu es la rêveuse devenue réelle. Tu es la fée aux maléfices et de cela tu peux les rendre réels. Le sourire que tu portes aux étoiles est sincère et de ton rire s’exauce les plus beaux vœux. Tes projets ne sont que poussières, ils sont si profonds en toi que les mots ne peuvent pas les décrire. Alors tu restes pleine de mystère, alors tu restes déesse. Alors tu restes nymphe. Et un songe effleure ton esprit. Lui. C’est un rêve, c’est un projet… Et tu comptes bien le rendre plus que réel. Ô Oiseau Conteur..
« • Quels sont tes liens ? Qui est ton père ?.. Tout est si flou, dans ton esprit. Tu ne peux appeler ta mère par ce nom, et ton père reste dans les méandres d’un passé voilé. Oh Fragments Étoilés, pourquoi tant de secrets ? Pourquoi ne pas en dire la vérité ? Tu es fière de cette mère, le lien qui vous unis est plus sacré que la vie même. Elle est là pour toi, elle est celle qui veille, celle qui aide. Si elle ne peut être mère, elle restera en toi pour toujours. Amie. Plus qu’amie. Elle est l’étoile qui t’éclaire, la vénus indécouverte.
« • Malgré le flou dans ta tête reste un mot. Malgré la peine et la joie reste un terme. Malgré tout reste un nom.. Un nom et une explosion de sentiments. Oiseau Conteur. Il est un songe fugace et irrésistible, une attache sans limite. Un jour de guerre, vous vous êtes rencontrés pour l’éternité Il en est resté à jamais dans tes idées, dans tes pensées. Tu l’as revu par hasard pur, par caprice du destin durant une soirée d’automne.. Le temps s’est écoulé et deux fois durant tu l’as croisé.. Le sourire qu’il fait naitre en toi est grand.. Non, immense. Il est une envie, il est lui. Il est ton seul ami, il est ton vrai ami. Il est lui. Ô Oiseau Conteur. Il est la perle de ton cœur, celui que tu chéris alors qu’il n’est pas ici. Déjà tu imagines votre prochaine rencontre… Que se passera-t-il ? Aura-t-il monté un cran depuis votre promesse ? Sera-t-il devenu guerrier, aura-t-il changé ? Un mot vous fait rire, un regard et tout s’entend. Il ne vous faut pas plus qu’une poignée d’expressions pour vous comprendre. Il est cher à ton cœur, et ce sentiment que tu éprouves pour lui est si flou que tu y penses un jour sur deux, un soir contre un jour. Mais en parler à ta mère est trop brutal. Mais en parler à quiconque est une violation à ta règle. Alors tu souris aux étoiles, alors tu murmures au vent. Que nous réservera l’avenir ô Oiseau Conteur ?
« • Spleen.. Lui. L’obsédante opposition qui ne forme qu’une avec toi. Le temps d’un regard, le temps de milles phrases. Il est la nuit alors que tu es un tout. Il est ce que tu es en étant ce qu’il te manque.. Ce qu’il te complète. Il est une parte de toi, plus sombre encore. Il est le tout et le contraste même. Tu ne connais pas son nom.. Mais son regard à jamais dans ta mémoire. Un sourire sur ton visage bienfaisant et déjà tu t’éloignes au plus profond de la foret.. De ta foret. Cela remonte à si longtemps.. Et si peu en même temps.
•• Quelques précisions ;D
• Comment avez vous découvert le forum? ; J’ai une tête à m’en souvenir ? ♥ • Votre avis sur le forum ; … ♥ • Codes du règlement ; .. On va dire que c'est bon. Mais chut, ça reste entre nous.
•• Identité de Mémé :B
• Prénom ; Maybe :B • Age ; 15 ans • Lieu de vie ; France • Niveau en RPG ; Ahaha. Je n’arrive pas à lire l’étiquette sur mon front, Wisne me l’a collée trop haut. • Autres ; Je vous aime.. <3
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Dernière édition par Fragments Étoilés le Ven 13 Juil 2012 - 14:12, édité 4 fois |
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