Au clair de la Lune ~ Libre

Au clair de la lune



Hier soir, tard, j'ai trouvé des Bipèdes dans la nature, entrain de monter des tanièrs en toile. J'ai fein d'être blesser. L'un d'eux ma pris dans ses bras et m'a emmené dans sa tanière. J'y ai dormi bien au chaud avec nourriture a volonté.

Encore plus tard ce soir-là, je me tournais et me retournais dans mon sommeil. Je n'arrivais pas à dormir alors je suis sorti. Un Bipède était entrain de faire je ne sais quoi. Il m'a vu et a essayé de me prendre dans ses bras. Essayé. Je l'ai griffer. Tellement qu'il a hurler et c'est précipité dans sa tanière. J'ai continué ma route, tête haute.

Je sais très bien que je suis sur le territoire de mon ancien clan. Je m'en fiche. Bientôt, je serai en terre libre. Les étoiles brilles et la lune, presque pleine, trône fièrement dans la noirceur de la nuit. Je ne crois pas aux guerriers étoilés. Ce ne sont que des sottises.

J'aperçois le Phare Éteint et me mets a courir. Le sable fin crisse sous mes pattes, il est frais mais un peu tiède tout de même. Quelque grains ce prenne dans mes griffes et dans les poils de mes pattes. Peut importe. J'adore courir ainsi ! Cela fait si longtemps que je ne l'ai pas fais. On pourrait penser que les chats comme moi n'ont aucun sentiment. Qu'ils ont des cœurs de pierres. Mais c'est faut. En parti du moins. J'arrive à ressentir quelques émotions, mais quand il s'agit de manipuler ou faire souffrir les autres, j'éprouve une joie immense. Et quelques fois, aucun sentiment ne traverse mon cœur.

Je ralenti. Me voilà en face du majestueux arbe de pierre. Il est fais de pierre, des fissures cours le long de son tronc. A son sommet, trône un feuillage original. Fais de bois en forme de cône. La porte d'accès y ai casser, mais les chats peuvent quand même y pénétrer.

Mes pattes me guide face a la mer. La lune ce reflète imparfaitement dans l'onde glaciale. Quelque vaguelettes viennent lécher mes pattes. Je recule. Je m'assieds a quelques longueurs de queue du Phare.

Soudain, un bruit de pas viens troubler ce silence magique. Sans me retourner, je crois :

«Qui va là ! Je sais que vous êtes là !»

Les pas ce rapproche. Je restent immobile. Telle une pierre. Je suis trop intelligent pour révéler mon visage. Ils pourraient très bien être plusieurs que je ne le devinerai pas.