« Méfie-toi de celle qui crache du venin et de l'ombre blanche,

ils s'attaqueront aux fondements des clans... »
 
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 Pour qu'une Étoile s'éteigne, il faut qu'une autre s'allume.

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Nighty
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Pour qu'une Étoile s'éteigne, il faut qu'une autre s'allume. Empty
MessageSujet: Pour qu'une Étoile s'éteigne, il faut qu'une autre s'allume.   Pour qu'une Étoile s'éteigne, il faut qu'une autre s'allume. 3horlo10Lun 9 Juil 2018 - 17:27


Pour qu'une Étoile s'éteigne, il faut qu'une autre s'allume.


Dès l'instant même de ton réveil, ton regard perd toute sa neutralité pour s'illuminer d'une émotion intense. Tu t'étais préparée à cet instant pourtant, longuement, mais rien n'aurait su te préparer à cette joie inégalable. Un sourire nait au même instant sur nos babines à toutes les deux. Cela faisait longtemps, si longtemps que nous ne nous étions plus trouvées face à face. Que nous ne le pouvions plus, hélas. Nous savons fort bien que ce moment ne sera que fugace, qu'il te faudra repartir, que l'attente de la prochaine rencontre sera tout aussi longue. Voilà pourquoi ton masque est tombé sans crier gare. Nous n'avons que très peu de temps, & il nous faut en profiter au maximum. Aucune parole n'est échangée, seulement ce long regard si parlant, ce sourire heureux. Je n'ose pas approcher, & je sais que toi non plus ; tu es venue pour une cérémonie bien précise, bien plus grande & importante que nous. C'est la tenue de celle-ci que nous respectons ainsi, même si nos cœurs ne hurlent qu'à se retrouver, nos âmes qu'à être réunies. Chère sœur. La mort nous a séparées il y a bien longtemps, pourtant nos chemins ne se sont jamais écartées. Mes pattes ont toujours marché dans les tiennes, depuis les terres Etoilées ; pourtant, rien n'est plus pareil. Nos cœurs ne battent plus à l'unisson, puisque le mien ne battra jamais plus. Nos âmes ne sont plus une seule, puisqu'il a bien fallu se déchirer pour que tu ne me suives pas. Il me manque ta chaleur, dans les Plaines Etoilées ; & je sais fort bien qu'il en est de même pour toi dans le monde des vivants. Malgré tout, nous avons avancé, vaille que vaille chacune de notre côté. & te voici aujourd'hui, droite & digne. Que je suis fière de toi.

- Belle de Nuit. Que tu as grandi.

Un autre félin s'approche, attirant enfin ton regard. Nul autre qu'elle ne pouvait se permettre d'interrompre notre moment. Son regard tendre & maternel ne trompe pas, & nous sourions ensemble. Tu l'as reconnue sans hésiter bien sûr, même si tu ne l'as plus vue depuis notre naissance ; ta fourrure est la sienne, mes yeux viennent d'elle. Tu es émue de la voir aujourd'hui, évidemment tu ne pouvais t'y attendre. Une solitaire pour te transmettre une vie, quelle surprise.. Mais notre mère devait rejoindre la Lune, elle aussi. La mise-bas l'a emportée avant que cela ne puisse se réaliser ; cependant, les Etoiles ont tranché, l'ont accueillie tout de même. Ce privilège qu'elle a aujourd'hui n'aurait pas dû arriver pour autant.. Mais qui mieux qu'elle aurait été mieux placé pour t'offrir la toute première de tes nouvelles vies?

- Par cette vie, je t'offre l'amour d'une mère. Sache toujours t'en servir pour veiller sur ton Clan, être autant la protectrice que la juge.

Inclinant la tête, tu l'accueilles avec déférence, & notre mère pose sa truffe sur le sommet de ton crâne. Une puissante décharge d'amour brutal, de souffrance mais pourtant de détermination te traversent, alors que tu fais fasse au plus beau de ses souvenirs, que tes yeux à travers les siens se posent sur nos deux toutes petites formes blotties contre son flanc. Tu croises ton propre regard, au moment où le souffle agonisant de la Reine murmure « Petite Nuit ». L'image s'efface de ton regard, & tu te redresses dignement, échange un long regard lourd de signification avec celle qui nous a donné la vie. Finalement, tu lui offres un petit sourire en coin, & elle te donne un coup de langue tendre sur l'oreille, avant de reculer de quelques pas, laissant place à une seconde Reine que tu accueilles avec la même émotion.

- Par cette vie, je t'offre la douceur. Si impénétrable que soit ta carapace, n'oublie pas que chaque être a besoin de douceur de temps en temps.. En particulier ceux que la vie a le moins épargné.

Tu lui offres le sommet de ta tête comme pour notre mère, & celle qui nous a élevées après sa disparition pose sa truffe entre tes oreilles. Cette vie est moins douloureuse, bien plus chaleureuse, & tu vois se dessiner devant ton regard une image que tu sais irréelle, mais qui t'arrache un sourire attendri. Des yeux de notre maman adoptive, tu vois ce qui fut son plus grand rêve, ce qui lui offrait le plus de joie & d'envie de vivre. L'image des trois chatonnes qui furent les siennes. Petite Framboise se tient à nos côtés, jouant avec nous, & même si tu ne l'as jamais rencontrée, tu la reconnais sans hésitation. Alors que le souvenir s'efface, & que Jolie Fleur t'offre un sourire tendre avant de presser brièvement son museau contre ta joue avant de s'écarter lentement, rejoignant la chatonne de la vision précédente, désormais adulte. Ton cœur manque un battement en la voyant, si grande, & si vivante ; cette grande sœur emportée par la mort avant notre naissance. Elle t'offre un sourire doux & affectueux, auquel tu as à peine le temps de réagir qu'elle s'écarte déjà, laissant s'avancer un matou que tu connais bien, bien que vous vous soyez connus de manière insolite.

- Par cette vie, je t'offre la patience. Sache toujours attendre ton heure, mais aussi ne jamais presser les tiens ; qu'ils soient jeunes ou moins jeunes.

Posant doucement son museau entre tes deux oreilles, notre père ferme ses yeux si semblables aux tiens, au moment où ces derniers se voilent pour accueillir la véritable tornade qui te dévaste de l'intérieur. Le feu de la rage, de la douleur, alors qu'il te regarde de loin couchée sous le Saule Pleureur, face à une tombe que nous ne connaissons que trop bien, attendant la première occasion pour te tirer de ta torpeur. Pour t'offrir la seule chose à laquelle tu pouvais te montrer réceptive, la seule chose susceptible de te réanimer un peu après le déchirement que tu venais de subir. Que nous venions de subir, toutes les deux. Un entraînement, le plus intensif possible. La force de vaincre. Tu ressens son amour, son amour du savoir, son amour de transmettre ; les trois te transpercent en chœur, & c'est un regard indéchiffrable que tu poses sur lui lorsque le tourbillon s'apaise. Ses yeux brillent d'une intense fierté, & tu finis par lui sourire un peu, en coin. Juste avant qu'il ne s'écarte, laissant place à une ombre toute aussi imposante que lui, qui se dresse fièrement devant toi. Tes pattes tremblent légèrement à sa vue, & c'est avec difficulté que tu retiens une larme.

- Par cette vie, je t'offre l'indulgence. Sache t'en servir pour pardonner les tiens, & les aider à garder le droit chemin.

Sa truffe posée sur ta tête, tu sens une intense décharge de souffrance, de doute profond t'envahir. Tu revois les corps que tu avais abandonnés lorsqu'à ma mort, & après m'avoir vengée, tu as pris la fuite en n'emportant que ma dépouille. Tu ressens son désespoir, son inquiétude, alors qu'elle te cherche sans relâche plusieurs jours & semaines durant. Sa révolte & son trouble lorsque tu reparais finalement, brisée & changée, & qu'elle se montre si implacable alors qu'en dedans, tout part en éclats ; qu'elle veut te faire confiance tout en ne sachant plus si tu le mérites. Un soupir silencieux vous échappe à toutes deux alors que l'image s'efface finalement, après un temps interminable. Vous échangez un long regard lourd de sens, de responsabilités & d'un poids que vous seules connaissez ; puis un petit sourire timide. Alors finalement, Etoile des Déserts recule, laissant la place à une autre.

- Par cette vie, je t'offre l'énergie. Sache en faire bon usage pour protéger & nourrir ton Clan, pour veiller sur les plus jeunes, soutenir leurs mères, accompagner les plus âgés.

Devant elle comme devant chacun des précédents, tu t'inclines avec une émotion que tu ne cherches plus à dissimuler. Tu te revois à travers ses yeux, distante & digne mais présente, alors que tu l'accompagnais dans chacun de ses pas d'Apprentie. Tu te revois la suivre de près lorsque, véritable boule d'énergie, la petite femelle courait partout, s'essayait à la nage ou à l'escalade sous ton égide avant tout entraînement de chasse ou d'autre chose. Moins douloureux que le précédent, pourtant revoir ces images te rappelle très bien à quel point ta première apprentie a pu te sembler épuisante par moments ; façon de parler, s'entend. Lorsque les images s'estompent, tu échanges un bref sourire complice avec elle. Si difficile qu'était l'idée de socialisation pour toi à l'époque -bien plus encore qu'aujourd'hui, c'est dire-, son entraînement vous a fait passer tellement de bons moments toutes les deux. Les revoir ainsi t'aide un peu à admettre sa disparition récente, à faire le pas d'avancer face à l'énième décès d'un être bien trop jeune pour s'en aller. Elle s'écarte finalement, & le félin manque de te faire défaillir. L'espace d'un instant, tes pattes semblent ne plus pouvoir te soutenir, & c'est presque un miracle que tu demeures debout, droite pour l'accueillir. Elle & son grand sourire lumineux.

- Par cette vie, je t'offre la force. Sache t'en servir pour rester le chêne qui supporte & soutient ton Clan, contre chaque tempête.

Lorsque la truffe de la femelle blanche aux yeux sombres effleure ta tête, tu fais face à l'un des plus brefs souvenirs parus jusqu'à présent, mais également l'un des plus vifs en émotions ; des émotions enfantines, pures & joyeuses. Brièvement, tu te vois toi-même, dans le regard trouble du chaton entrouvrant les yeux à la naissance. Tu la vois jouer avec ses sœurs, si joyeuse, légère, sous votre regard protecteur, à ton compagnon & toi-même. Une vague de chaleur t'envahit, alors que tu lèves vers elle un regard apaisé suite à cette vision. Son intention est évidente, alors qu'elle te sourit toujours. L'idée d'aller de l'avant, de ne plus regretter cette époque passée ; d'y penser avec toute la douceur qu'elle mérite & non plus de troubles ou de peine. D'un hochement de tête lent, tu signifies ta compréhension ; alors ton enfant vient t'étreindre un instant, se blottir contre toi comme elle le faisait il y a bien longtemps désormais. Une étreinte que tu lui rends, émue, un peu maladroite peut-être par manque d'habitude ; elle était si petite encore, lorsque tu l'as perdue.

- Tu as tant grandi..
- Je m'appelle Mirage de Lune, maintenant. Rappelle à Rosée & Fleur que je les aime.

Elle recule finalement, & tu voudrais la retenir ; pourtant tu n'en fais rien. D'un nouveau hochement de tête, tu promets. Son nom, tu le connaissais déjà ; Odyssée des Fleurs te l'avait appris après la Bataille, où vous n'aviez pas eu le temps de vous trouver. Mais ce n'est pas pareil de l'apprendre de sa propre bouche. Cette fois, une larme coule véritablement, se perdant dans l'herbe scintillante de la Prairie Étoilée. Il te semble que ton cœur se déchire, pourtant tu ne défailles pas. Tu n'en as pas le droit, pas après le message qu'elle vient de te confier. Rapidement, à elle se succède une autre féline non moins familière, te forçant à te concentrer sur autre chose, remettre l'analyse de ces émotions à plus tard. La Reine se plante face à toi, toujours si fière & brave, fidèle à elle-même, avec ce sourire espiègle qui la caractérisait si bien.

- Par cette vie, je t'offre la ruse. Sache t'en servir avec justesse, car souvent la bataille n'est pas le meilleur moyen de régler les conflits.

Au moment où sa truffe t'effleure, tu ressens son déchirement dans toute sa grande puissance, manquant de te balayer après deux vies si douces & paisibles. Tu te revois face à elle, inébranlable alors qu'elle t'annonçait le trouble dans lequel elle se trouvait, écartelée entre l'amour & la loyauté, peu surprise en vérité devant cet aveu dont tu te doutais depuis un moment. Tu te revois l'apaiser, chercher les mots face à son désespoir. Tu ressens sa terreur, chaque fois qu'elle découchait pour aller Le retrouver en dépit de toutes les lois, sa culpabilité mais aussi sa détermination & son amour ; véritable torrent de sensations dans lequel il te semble presque te noyer. Muette lorsque ses souvenirs te quittent, tu plonges ton regard dans les saphirs des yeux de ta nièce ; ma chère enfant dont tu as si bien pris soin dès l'instant où tu as su son existence. Qui m'a rejoint trop vite, encore un regret qui hante ton cœur. C'était son choix pourtant, & tu le sais bien.. C'est peut-être ça d'ailleurs qui a adouci un peu ta souffrance lorsque tu as appris que son dernier souffle s'était envolé, sans toi. Lentement, elle recule, laissant place à un huitième félin, une femelle calico qui te laisse bien plus neutre ; bien que tu l'accueilles avec respect, désormais.

- Par cette vie, je t'offre la loyauté. N'oublie jamais ce que tu sais déjà, qu'elle se trouve dans le cœur de chaque félin, dans les choix qu'il fait, & non dans l'identité de son compagnon ou le Clan de ses parents.

Devant elle, tu inclines la tête peut-être un peu plus bas que précédemment. Non par déférence quelconque, mais par respect. T'assaillent rapidement les images des moments les plus marquants de sa vie. Sa fuite de la Rivière, colérique, comme dernière membre de la Meute qui s'y trouvait, la mort de son mentor & amant à ce moment. Sa rencontre avec Agonie, après l'Apocalypse. La tentative d'alliance avec la Lune, ton opposition ferme comme celle d'autres membres, le regard de sa sœur Opale. La remise en question d'Agonie & d'elle-même, après ce rejet d'une alliance pourtant favorisée par un souhait de vengeance. La naissance de l'Astre, sa participation accrue à l'organisation de ce groupe. Son souhait de pacifisme, surtout après la naissance de sa portée. Sa deuxième portée, le déclin de sa santé. Votre seule & unique discussion, où tu lui avais affirmé que là, elle avait vraiment changé, s'était vraiment départie de son bref passé de Meuteuse. Qu'elle t'avait confirmé que la dernière fois, tu avais vu juste, que ce n'était pas encore le cas, & que tes paroles avaient fini par faire leur chemin avec le temps, achevant le changement initié par le rejet de la Lune en lui-même. Tout cela n'aura duré qu'un instant, où tu demeures parfaitement neutre, encaissant les sensations & émotions brèves qu'elle te renvoie. Après quoi, tu relèves la tête, affronte son regard avant de finalement lui offrir un sourire. Léger, bref. Mais sincère. Alors finalement, Musique Déchue recule. & instinctivement, tes yeux se posent de nouveau sur moi, avant même que j'esquisse un premier pas en ta direction.

- Par cette vie, je t'offre la foi. Je sais que la tienne est forte & inébranlable, mais dans la vie d'un Chef, on n'a jamais trop peu de cette vertu.

Un sourire chaleureux s'esquisse sur mon visage, alors que je pose ma truffe sur ta tête que tu me présentes avec une confiance absolue. Chère sœur. De mes yeux, tu te vois toi-même de loin, tantôt au milieu de l'ancien ou du nouveau Camp, tantôt au sommet de la Colline Etoilée, tantôt perchée sur l'une des Pierres Levées. Parfois, une brise légère soulève ta fourrure, & nous savons toi comme moi ce à quoi cela correspond. Cette vie ne t'offre pas de souffrance particulière, car je n'aurais pu supporter de t'en imposer moi-même. Mais une profonde chaleur allume ton cœur, une paix sereine & une immense complicité, de ce lien que même la mort n'a jamais su tarir & qui nous maintiendra toujours côte à côte, quoiqu'il advienne. Au bout de plusieurs longues secondes, tes yeux sombres se rouvrent, viennent plonger dans les miens ; & ton visage se fait aussi lumineux que le mien l'espace d'un instant, le temps que tu recouvres ton sérieux malgré ce petit sourire en coin complice qui demeure. L'instant le plus solennel de la cérémonie est venu, & tu le sais parfaitement bien sûr. Bien que nul ne connaisse le déroulé de la nomination d'un nouveau Chef hormis eux-mêmes après coup, tout te le fait sentir actuellement, en particulier ma propre attitude. Une lueur amusée traverse mon regard, alors que je lève les yeux vers le ciel étoilé une seconde, avant de les reposer sur toi, paisible & non plus fébrile.

- Je te salue par ton nouveau nom, Etoile de Nuit. Ton ancienne vie n'est plus, tu possèdes désormais les Neuf Vies d'un Chef, & le Clan des Etoiles te confie la protection du Clan de la Lune. Défends-le en toutes circonstances, veille sur les plus jeunes & les plus âgés, honore les traditions qu'elles soient anciennes ou récentes. Habite chacune de tes vies avec fierté, dignité & sagesse, jusqu'à ce que le tout dernier souffle te ramène sur ces terres sacrées.

Dans mon dos, les huit félins qui ont participé à la cérémonie commence à entonner ton nouveau nom en chœur, vite rejoints par ceux qui y assistaient en silence. Sereine, tu inclines la nuque avec respect & humilité, sans lâcher mon regard une seule seconde. Profitant de chaque précieux instant, évidemment, avant de retourner à la réalité ; au monde des vivants, auquel tu appartiens encore en partie. Tu y feras merveille en tant que Chef de la Lune, aussi longtemps qu'il le faudra. Étoile Destinée y croyait, au moment où elle y a renoncé pour te céder sa place, préférant vivre enfin pour elle, désormais. Toi, tu as toujours vécu pour les autres, & c'est sans doute ce à quoi tu aspires le plus. Alors j'y crois plus encore, plus que quiconque. Chère sœur..

fiche by Nighty Jaegan.

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