Sale petit idiot de chaton ! Court avant que je te bouffe.

Autre fois on aurais pu dire de Carcasse que c'était un chat qui ce portais bien, une belle fourrure tigré qui recouvré ses côtes et son vendre bien nourris et qui ce terminé jusqu'au bout de sa longue queue bien touffue. Il avait un regard attachant, des yeux marrons comme l'ébène, brillant dans la lueur du soleil les jours de belle journée. Carcasse était un chat qui respiré la forme et la santé, un chat sans nom, mais un chat en vie.





Puis les épreuves de la vie lui ont tout pris, jusqu'à son magnifique physique. Sa fourrure blanche tigré de marron, aujourd'hui est a penne reconnaissable, on peut désormais apercevoir sa peau rosé ) plusieurs endroit de son corps, de nombreuses touffes de poile ayant été arraché de sa fourrure, aujourd'hui celle ci ne ressemble plus à grand chose. Trône aussi sur son corps de nombreuse cicatrice, marque de combats entre chats, divers marque faite de la mains de l'homme et encore d'autre faite de la nature elle même. Le corps du Matou est aujourd'hui très maigre, des cotes son bien visible ainsi qu'une grande parti de son
squelette, il ne reste qu'un peut de muscle visible, mais tellement peut qu'on ne peut le prendre en compte. Si son corps est devenu affreux, sa tête est bien pire encore. Une oreille à moitié déchiqueté, suivi d'une longue marque faite de la patte d'un chat lui traverse la tête, passant par son œil droit, qui en fut par le coup aveugle.





De son physique le Matou n'est plus
que l'ombre de lui même, c'est un chat devenu hideux, un chat
portant le nom de Carcasse.

Ayant grandit seul dans une ruelle, sans vraiment avoir de mère pour l'éduqué, le jeune chat du apprendre à vivre avec la dure lois du plus fort, instaurés par les chat vivants vivant dans la rue. Son caractère de forgea sur cela, si personne ne vient chercher les problèmes, il y en avait aucun, si cela devenais le cas alors sa le deviendrais très rapidement. Le jeune chat n'étais pas d'une nature bagarreuse. Resté dans son coin en silence était certainement ce qu'il préférer faire. Puis les épreuves ce sont enchaîné, comme si ce qu'il avait appris dans la
rue n'étais qu'un entraînement à ce qui l'attendais quelques lunes plus tard.





Puis le petit chat sans nom devient Carcasse, le chat effrayé de tout, le chat qui à peur, le chat en en colère. La colère ce transforma en haine, en la plus grosse haine qui puisse existé au monde. La haine de la vie. Carcasse en devient un chat solitaire, un chat ne pouvant vivre en compagnies d'autres espèce comme lui. Un être vivants quels qu'il sois devait être tué, tué sur le champ. Carcasse vie avec la pensé que tout ici est bon à vouloir le tuer. Alors tout doit être détruit, tout. Sans même chercher à comprendre. En entrant dans la forêt, Carcasse ce trouva comme apaiser de sa peur des vivants. Il n'en oublia pas ses peurs, ses peurs du monde tout entier. Temps qu'il reste seul, dans la forêt et qu'il ne croise personne, on pourrait
presque croire que Carcasse est un chat normal. Mais quand celui ci vient à croisé quelqu'un de son espère, sa haine reprend le dessus, peut importe qui, peut importe comment., il doit être détruit.

(de quelques heurs à 6 Lunes)

(De 6 à 14 Lunes)


Les nuits devinrent de plus en plus fraîche, la fourrure du jeune chat c'était mis en condition, mais cela n'empêcher d'avoir froid, il ce mis comme toute les nuits, la truffe entre les pattes, la queue rabattu autour de lui, puis il sombra dans un sommeil sens rêve. La journée, le jeune chat la passais à cherché à mangé, les vivants rejetais beaucoup de chose dans de gros bac que les autres chat de la rue appelé Poubelle. Le jeune chat tigrée était le plus jeune des chats de la rue, les autres plus vieux lui avait bien fait comprendre qu'ici c'était la lois du plus fort. Ils lui avaient fait comprendre par différente façon, une nuit un chat noir était apparut, toutes griffes dehors, un air menaçant et il en avait pas fallu plus au petit chat pour partir ce trouvé un autre endroit pour dormir. C'était pareil pour la nourriture. Un beau jours, il avait trouvé dormir le toit d'une maison. Profondément endormis il fut réveillé par un grondement féroce. C'était le chat le plus laid qu'il n'eus jamais vue, un chat squelettique, noir, le regard vitreux, mais un air menaçant.

Dans la rue tout le monde l'appelé "Songeur" pour une raison que tout le monde ignorer certainement. Ce dernier lui avait grogner de déguerpir, que ce toit lui appartenait. Mais le jeune chat, pour la première fois, refusa. Il était beaucoup plus petit que Songeur, mais peut importe, il n'avait pas envie partir maintenant, en pleine nuit. Il sortie ses griffes, et ce mis à faire le do rond. Son adversaire, lui sauta dessus et le projeta à l'autre bous du toit. Le jeune chat compris qu'il n'étais pas de taille et qu'une fois de plus il faudrait quitter cette endroit et trouvé un autre toit pour dormir. Mais le vieux Songeur s'approcha de lui, son air menaçant était toujours la, mais dans son regard, il n'y avais plus rien de méchant. Il lui dit quelques chose que jamais le jeune chat ne pourrait oublier.


Puis partit plus loin sur le toit et ce coucha. Le jeune chat tigrée, ce risqua à s'endormir sur ce toit, mais plus personne durant la nuit ne vient s'en prendre à lui.

Depuis cette nuit la, il devient le protéger du vieux Songeur, le laissant dormir sur son toit si celui ci allais lui trouvé à mangé la journée. Un beau jours le vieux matou vient à lui apprendre certaine base du combat, de jours en jours le jeune chat grandissais au coté du vieux chat. Il passais ses journée à fouillé les poubelles pour lui trouvé à mangé et la nuit il pouvais dormir tranquillement. Ce compromis les lias l'amitié. Un beau jours quelques chose de blanc tomba du ciel, c'était froid. Songeur lui expliqua que c'était de la neige et qu'ils allaient tout deux avoir froid. Cette nuit la, les deux chats dormirent cote à cote et essayèrent de ce réchauffer de leurs fourrure, mutuellement. Le matin il fut réveillé par la lumière du soleil qui avait disparut depuis plusieurs jours. Tout était blanc autour de lui, le toit, les arbres qui ce trouver autour,même sa fourrure l'était. Mais le jeune chat était gelée jusqu'au os. Ce retournant pour réveillé le vieux Songeur, celui ci ne répondit pas, poussant du museau le vieux chat pour essayé de le réveiller mais celui ci ce répondit toujours pas. Le chat tigré le regarda, ses flan ne ce soulevais pas. Il était mort.



Pas encore. Il était étendu, dans une ruelle sombre. Il inspira profondément, il connaisse cette endroit, mais aucun souvenir de lui vient quand il essaya de chercher. Ignorent depuis combien de temps il était ici, il ce releva lentement. Ses pattes le fessait souffrir, son ventre grogner et il avait soif. Pour sa soif il trouva une petite flaque d'eau. L'eau en elle même était immonde, mais sa soif était si grande qu'il aurai pu boire n'importe quoi. Pour sa faim, le chat ne sus où allais, il ne retournerais pas chercher dans les poubelles. Il fessait jours et il commençais à de plus en plus chaud. Le seul endroit qu'il eu envie de retrouvé était son toit. Il connaisser pratiquement toute c'est petite rue et le retrouva facilement. Il utilisa ses dernière ressources pour atteindre le haut du toit. Quand il fut enfin dessus il mis un certain temps à comprendre. Il y avais plusieurs odeurs. Des chats.

Ils ne tardèrent pas à ce montré. Les griffes sorties, le do rond, quatre chat plus ou moins gros ce dressèrent devant lui. N'ayant pas la force de ce battre, le sachant déjà, le chat Tigrée ce contenta de sortir les griffes et d'attendre. La voix de l'un des quatre chat résonnèrent dans la tête du chat tigrée.



Et une grosse patte vient s'abattre sur la tête du chat.

Si il eu un combat, le chat Tigrée ne ce souvient pas. A son réveille il était sur le sol, rien n'avais pu amortir sa chut. Il compris une nouvelle fois qu'il n'étais pas mort. Mais pourquoi ? Pourquoi depuis le début ce n'étais pas lui qui avait était choisi par la mère ? Pourquoi le Vivant ne lui avait pas de nouveau ouvert la fenêtre pour entré ? Pourquoi le vieux Songeur était t-il mort ? Pourquoi ce vivant lui avait fait du mal ? Pourquoi n'étais t-il pas mort a ce moment précis ? Il resta là, allonger sur le sol jusqu'à ce que le soleil ce couche. Puis le chat tigrée ouvrit les yeux, enfin l'oeil qui lui resté. Si la vie avais dessider de le laisser en vie pour le voir souffrir alors il allais la défier. Il ce releva, essayant d'ignoré la douleur. C'était la lois sur plus fort et il perdue, il était temps de partir. Un endroit c'était dresser à lui durant si longtemps qu'il n'avait jamais penser y allais un jours. La forêt. Si on venais à lui demandé son nom, il répondrais, Carcasse. Carcasse, le chat voulant défier la vie en l’ôtant à toute personne qu'il croiserais.