P.ETITE C.HIMERE [ A EDITER]

P.ETITE C.HIMERE - N.UAGE DE C.HIMERE - R.EVE C.HIMERIQUE - E.TOILE C.HIMERIQUE

4 L.UNES

S.OLITAIRE

C.HATON

D.ESCRIPTION P.HYSIQUE

Si un regard...

Si un regard pouvait vous émerveiller, ce serait le sien. Il est si brillant, si beau, c'est un espoir, un rêve, un regard chimérique. Ce regard remplis de sentiment, d'émotions, d'espoir et de secret caché ou perdu. Un millions de proposition ce cache sur ce regard. Il vous fait pitié, et vous vous demandez, lequel des deux et le plus à plaindre ? Ce regard si petit, deux prunelles bleue, deux petit rond portant avec eux l'histoire de tout une vie. Tout ce cache dans ce regard, un espoir perdu, un rêve caché, des sentiments continuels, et une infinie tendresse. D'un intense bleue mer, on si perd, on s'éloigne de la réalité, et on se noie. C'est si dangereux de ce plonger de ce regard, car ce n'est pas n'importe quel regard, il est magnifique et pourtant si irréel... Ce regard, si petit soit-il, a vu quatre lune passée - en comptant la naissance où les chatons sont aveugle - et il était resté émerveillé. Et dans ces yeux brillent une lueur d'intelligence et de curiosité, qui rendra ce regard... unique !

Si un sourire...

Si il n'y avait que ses yeux d'irréel ? Ce sourire, si doux, si tendre, il est si beau et harmonieux. Il est lui aussi unique, car ce sourire et si rare, que quand elle offre le plaisir que de voir un sourire, on ne peut s'empêcher de l'admirer, et de sourire nous aussi. Car elle ne veut pas sourire, pas maintenant, ni jamais. Mais comment résister à l'envie de rigoler ? De sourire ? Ces dents si blanche, se sourire si profond, si emportant. C'est fou la joie que l'on offre quand on sourit, mais cette joie, elle ne l'aura jamais. Un sourire... si simple puisse-t-il être, rend heureux, celui à qui il est adressé, c'est un sourire. Mais celui-ci est unique, il est attendrissant et si rare.

Si le visage...

Une petite bouille ronde, et fine en même temps. Si douce, mais si triste en même temps. Si joyeuse, mais si colérique en même temps. Révélatrice de sentiment avec un regard et un sourire contenant un infinie bonheur dont elle ne peut profiter. Un sourire... c'est si simple pour elle d'en faire, mais si compliquer de... l'exprimer, enfin on me comprend pas toujours. Une mine triste renfermant le désespoir veut faire sortir un chaton... Mais, ce chaton serait spécial... unique. Il aurait été curieux, il aurait su regarder ce que les autres, que l'on pourrait qualifier d'aveugle, n'aurait même pas fait attention. Se visage prêterait, prête et prêtais attention à tout ce qui l'entourait. Ce visage si sentimentale, ce visage si amical, se visage si... irréel. Remplit d'une curiosité insatiable... d'une vision infinie, d'un regard se dirigeant vers les rêves, d'un sourire, si simple et si complexe à la fois et des larmes magique portant chaque être dans les airs.

Si la force...

Sous son pelage, on apercevra que pour un chaton, Petite Chimère est plus musclé que d'autre chatons. Ceci peut venir de sa race de chat abyssin, ces chats-là son souvent plus fin, plus agile, plus rapide et plus musclé. Du moins de leur apparence. Une apparence très musclé pour un chaton qui vit en solitaire, ça l'arrange. Mais, elle n'est pas si forte, elle se change selon le lieu où elle vit. Imaginez ce petit chaton, seul dans la forêt avec tout ces clans ? Tout... seul... Cette force, c'est comme la carapace d'une tortue, ça la protège, intérieurement comme extérieurement. C'est une protection, comprenez-vous ? C'est ça manière de se protéger des " méchants " qui viendrait la déranger, elle peut paraître terrifiante, elle n'en est rien. C'est sa manière de dire " ne venait pas me déranger, vous voyez bien que je suis plus forte qu'un chaton normal. " Ceci la protégera encore longtemps ? Car elle est seule, personne ne lui apprendra à se battre. C'est.. triste, mais unique !

Si l'agilité...

Mais sa qualité principale est l'agilité. Cette race de chat réputé pour un corps fin, son très agile, et qui dit agilité dit rapidité et bonne endurance. Quand elle voit qu'elle n'a aucune chance, son corps fin prend le dessus et fuit, même le plus âgé des guerrier ne peut la rattrapé, après tout, en plus d'une bonne endurance, elle a une endurance de chaton. Souvent même le plus rapide des guerrier, alors qu'il y était presque à la touché, fini pas abandonner. Cette tactique lui plaît, mais elle craint un jour ne plus avoir la force et l'endurance nécessaire pour fuir éternellement. Crainte qui se verront juste, c'est pour ça qu'elle cour beaucoup, pour ne pas perdre sa rapidité... et car elle n'a pas perdu l'envie de s'amuser. Mais ne parlons pas trop de son caractère alors que nous sommes en plein physique. Un corps si fin et petit qu'il peut se glisser presque partout, et une agilité que l'on pourrait dire " hors du commun " pour un chaton. Mais on ne parle pas de n'importe quel chaton, mais d'elle... une agilité unique.

Si le pelage...

D'une belle couleur orange variant à l'or sous le soleil, elle brille. Elle est... magnifique. Et la nuit son pelage devient gris presque bleu. La lumière protègera toujours son magnifique pelage et le rendra chaque instant plus beau. Oui, son pelage change de couleur, elle en est fière puisque la lumière brillera toujours pour le rendre bleu éclatant, tandis que le soleil laissera sa puissante couleur de feu dorer son pelage. Il est si brillant, il est si soyeux, il est magnifique. Elle en est fière, car dans la forêt il se masque bien avec les troncs et la terre. Ce pelage la protègera en même temps de la rendre magnifique. Et comme tout ne vient pas d'elle, elle remercie tout ce qui l'entoure et cette hypothétique mère en particulier, elle aurait aimé la connaître mieux. Elle aurait aimé... Ce qui est sur c'est que son père n'était pas abyssin, elle n'aurait d'ailleurs pas dut être chat de race. coup de chance... car elle est unique...

Si c'était en général...

Tâche doré sur le sol neigeux ou verdoyant. Des yeux bleu profond comme un sourire éclatant, un geste si simple porteur de tant de joie. Un petit corps, mais plus fin et agile et fort que un chaton normal. Un vision très développée, et un pelage marron-orange. Variant au gris lorsque la lueur de la nuit éclair tout être. Une rapidité hors du commun pour un chaton, dont la race est un coup de chance. Elle aurait put avoir la fourrure grise de son père, mais celle-ci la camouflant aussi bien qu'un pelage gris, et étant plus magnifique, elle ne se plaint pas de ce qu'elle est. C'est un rêve, c'est un espoir, c'est une force, une puissance magique... une chimère... si irréel. En fait...

Et si ce chaton... était unique...


D.ESCRIPTION P.SYCHOLOGIQUE

Imaginez vous ce petit chaton. Petit être minuscule à la fourrure d'or. Il ne vous sera pas trop difficile de l'imaginer - enfin j'espère - c'est un être si changeant. Variant chaque seconde de la colère à la tristesse, à la joie, à la honte, etc... Ce petit être fait un sourire, puis d'un coup il pleure. Ses mains tremble sous le coup de la colère et elle rougit. Ces émotions changeant aussi vite et aussi simplement qu'un sourire. Ceci ne veut pas dire qu'elle pourrait s'énerver après vous avoir fait un sourire. Ce n'était juste qu'un exemple... sourire puis larme car... il faut toujours essayer de masquer l'irréel, mais c'est si irréel, mais si triste. Il suffit d'une larme pour basculer un sourire, croisant cette masse d'or, collant le pelage à la peau. Cette sensation désagréable vient de ce fait, ce changement d'émotion, cette tristesse cette désespérance. C'est tout... tout un caractère, mais c'est toujours pareil... c'est pareil. Après tout, qui n'a pas eu un jour envie de pleurer ?

Revenons donc au caractère général de Petite Chimère. Tristesse, larme mélancolie. Tout ces sens la dominant plus, que elle même. Cette sensation d'être contrôlée par la tristesse, avoir toujours envie de pleurer, de verser des larmes. Quatre lunes de larme... pas une seule seconde de sourire, de joie, de bonheur. C'est ce qu'elle croyait, parce que chaque jour la tristesse la rendait plus faible, la rongeait... la tuait. Pas physiquement mais mentalement, si mélancolique, si triste, comme si les larmes l'envahissait dès qu'elle souriait. A vrai dire cette sensation de tristesse est naturelle, même quand elle sourit, ses yeux pleurent, enfin on me comprend ? Elle n'y peut rien, apparemment, même sa mère pleurait quand elle riait. Et puis qu'y a-t-il d'anormal a avoir chaque seconde envie de pleurer, se retenir et relâcher sa tristesse dans un moment heureux. Mais ceci n'empêche qu'elle ne pleure pas tout le temps, elle pleure mais sans pleurer quoi - on me comprend ? - c'est sa manière d'exprimer sa solitude et son manque d'amour. C'est sa manière d'exprimer sa mélancolique, c'est sa manière de dire aussi qu'elle sourit, qu'elle rit, qu'elle est joyeuse... mais qu'elle était triste. Toute un travail pour s'exprimer normal, une sorte de tics anormal.

Elle a une sorte de " don " d'observation. Elle voit très bien ce que les autres chat que l'on pourrait dire " aveugle " ne voient pas. Elle a un don pour apercevoir les sentiments des chats qui l'entoure, elle fait très attention à ce qui l'entoure, et ceux grâce à ce qui c'est passé quand elle était enfant, enfin encore plus petite. Dans sa tête tout les signe qui lui aide à comprendre un chat se mélangent pour ne former qu'une histoire. Elle réfléchit très vite, ce qui l'a permet en plus de se sauver des situations où le temps et compté. C'est ce qui la sauvera, mais pas éternellement. Elle adopte une si fine vue qui lui permet de deviner vite fait ce qui vient de ce passer et c'est ainsi qu'elle a comprit ce qui c'était passé. Cette capacité qui dérangeait son père, elle la rendait joyeuse, et en même temps triste de découvrir la vérité. Ça la rend si triste, si mélancolique, mais si forte, alors, pourquoi s'en plaindre ? Peut-être parce qu'elle ne doit éviter l'erreur, car elle n'aura personne sur qui compter. Don, en attendant elle utilise ce " don " pour " manipuler " les gens.

Sa joie et sa bonne humeur se transmet, surtout quand elle veut faire la maligne. Sa manière de blaguer quand elle se trouve dans des situations plus que dangereuse peut agacer les chats. Oui, même dans le danger elle ne peut s'empêcher de faire un sourire de défaite. Un sourire de défaite ? C'est sur que quand on sent la mort approché, il vaut mieux faire les yeux doux. Ceci la sauvé de plusieurs situation, même si en général elle court et fuit à toute vitesse. Et ce sourire de défaite, malin et remplit d'innocence signifie " je ne suis qu'un chaton, qu'est-ce que j'aurais put vous faire ? " oui, mais elle ne restera pas chaton éternellement, en attendant, elle se sauve comme elle peut avec ses moyens. Moyens très développés pour un chaton. Un son si merveilleux sortant de la gueule d'un chaton, c'est si... merveilleux. Un son si harmonieux croisant le chant de la nuit et la mélodie des vagues. Rien n'est plus joyeux qu'un rire d'enfant, rien n'était plus joyeux que de l'avoir entendu rire, seul lui il l'avait entendu ce rire mélangeant le cri du loup et le chant d'une hirondelle.

Une joie transmissible à tout être non sanguinaire qui ne serait pas capable de tuer un chaton inoffensif. Des fois il faut se résigné à abandonner, même le plus digne des guerrier n'oserait la tuer. Son tour du sourire et des yeux marche plus souvent pour les chatons et apprenti, vous comprenez pour quoi ? Ils jouent encore et ne comprennent pas le danger que peut faire un chaton. Cela ne signifie pas qu'ils peuvent devenir ami - même si cette règle est désobéi - ce serait contraire au règle du Clan des Étoiles. Elle s'en fiche, son sourire sera visible et si hypnotique que les jeunes chats se ficheront de ce que peut penser ce Clan. La joie qu'elle n'a pas, elle veut la transmettre, elle ne veut pas se retrouver seule. La solitude la blesserait, elle ne veut plus revenir dans le passer, elle veut avancer la tête droite. Elle veut rendre heureux les gens qui l'entoure, elle ne veut pas que eux voient sa tristesse, elle veut que eux ils sourient, ils soient content. Et c'est un désir qui lui tient plus qu'à coeur. Elle fera tout pour qu'au moins l'un de ses désirs soit réel. Elle se bat tout le temps dur, et elle ne compte pas abandonner.

La solitude, elle la connaît. C'est ce qui la rend si mélancolique, mais si forte, si joyeuse... mais si triste. Elle aurait peur... elle a peur, elle ne peut le nier, cette solitude la détruit intérieurement. Imaginez vous seul, oui, seul. Vous vous dîtes, " c'est génial, je suis libre, plus de lois ! ". Sûrement, oui, mais vous ne comptez sur personne. Tout petit après 4 lunes à peine, vous plongez dans une vie où vous perdez vite halène. Chasser seul, avec ces quelque connaissance que vous a enseigné celui qui prétendait être votre père. Si vous n'arrivez toujours pas à imaginer... pas grave, mais ne dîtes pas que vous auriez supporter, ça aurait été dur, trop dur et... impossible. Guerrier peut-être, apprentie peut-être aussi, mais chaton... non, pas chaton ! Même le plus fort des guerriers ne pouvait, étant chaton, vivre seul, peut-être parce que ni son père, ni sa mère n'avait rien fait pour l'aider. Peut-être aussi parce que quand il avait été petit, il n'avait pas eu les même problème qu'elle. Il n'avait pas eu ce problème qui avait changer la vision de ce chaton, et cette vie plus que lamentable.

Les rêve, c'est un espoir perdu, une chimère... des rêves. C'est quelque chose de magique que de devoir rêver, elle rêve. Dommage que chaque nuit, ses rêves sont troublé par les cauchemars. Des rêves qui n'avaient pas de limite comme elle en a maintenant, cauchemar et perte. Chaque jour elle se demande même si ce n'est pas un message. Mai tout sort de son imagination, son esprit trop inventif lui fait perdre la tête. On pourrait dire... folle ? Oui folle, il la rend folle, et la souffrance la rend encore plus folle. Heureusement elle garde bien les pieds sur terre et se maintient pour que les rêves reviennent un jour. Et après tout, personne n'interdit de rêver ? Tout le monde a le droit de rêver, et c'est son rêve. Un monde merveilleux où elle pourrait enfin dire " maman... ", un lieu où elle pourrait confier ses secrets sans se voir détruite par un monde obscur. Un endroit où on l'accepterait comme elle, et pas comme ses parents, pas non plus de là où elle vient. Un monde ou tout les chats seraient égo. Et ce rêve, il n'arrivera jamais, elle avance, elle marche, un rêve... juste un rêve et rien d'autre. Si ce rêve était si fort, ce n'était pas un désir.

Courageuse, qui est une qualité très importante pour un chaton qui vit seul. Elle a apprit grâce au courage à faire face au obstacle qu'elle croise quand elle marche. Mais des fois le courage vous emportera n'importe où, n'importe comment et les bêtises s'enchaîneront. En attendant, elle sait contrôler cette émotion, et donc, ce qui lui permet de savoir quand elle doit prouver son courage et quand est-ce qu'elle doit fuir sans poser de question. Ce qui l'aide puisque entre courir face à un blaireau et se faire dévorer... hmm... je me tait. Mais rassurez-vous ! Elle ne c'est jamais retrouver face à un blaireau. Un courage exceptionnel mais pas étonnant pour un chaton. Il veulent tous s'affronter au danger, pensant tous détruire un chef en un clin d'œil. Mais elle, elle n'a pas connu ça, c'est... différent. Beaucoup différent, elle a commencer à être courageuse, vraiment courageuse de puis " ce " jour. Ce n'est pas un courage de chaton, un vrai courage, elle a confiance en elle plus qu'en ses capacités. C'est étrange, je sais, et incompréhensible, mais elle fait plus confiance à sa réflexion et son courage qu'à ses capacités développés à courir et son agilité.

Mais... vous croyez qu'elle est un être parfait ?!? Si c'est ce que vous pensez, je pourrait vous faire croire que le père noël existe - sans oublier de m'excuser au près de ceux qui croient encore à lui. Elle a peur. On a tous eu peur un jour ou un autre, chacun e ses craintes. Elle a peur d'être seule, C'est stupide, puisqu'elle est seule, et pourtant c'est l'une des phobies qui lui a encore plus fait peur que de ce retrouver face à un renard ou à un blaireau. Peut-être parce que cette sensation elle la connaît, elle sait ce qu'elle ressent. La perte, l'oublie, la folie. Elle ne veut pas retomber dans ce désespoir, dans cette solitude, pas dans cette peur, celle de se retrouver dans le néant. Dans cette tristesse qu'offre la peur, à un chaton désespéré qui ne croit pas au miracle, mais au lois continuelle qui lui on détruit sa vie. Un miracle, c'est un rêve, pas un désir... Ça n'arrive jamais de toute manière, et elle s'était fixée avec cette phrase dans la tête. Ses pensées l'envahissant de " jamais " et de " miracle " avait finir par la résigné a ne plus faire des désir de chaton comme prouver à son père, qui est le meilleur chaton du monde... non, de l'univers ! C'était, lui, un rêve, et non un désir, perdu d'avance. Jamais...

Et pourtant, une force de capacité à croire. Oui, elle se fixe des limites et ne " désir " pas, non, elle rêve. Elle rêve a des miracle et donc croit à l'imaginaire. Elle n'a jamais crut au Clan des Étoiles, seulement parce que on ne lui en avait jamais parlé. Pour elle, il est possible que dans le ciel, des chats ce réunissent pour maudire son destin. De bien beau mot pour un chaton qui se croit, vraiment à plaindre avec ces capacités physique et intellectuelle. En fait, elle aurait préféré être stupide, et vivre avec lui... et elle... et aussi avec d'hypothétique les. Ça, c'est un rêve ! Pas un désir, ça n'a pas le même sens, l'un peu s'accomplir, l'autre est une cause perdu d'avance. C'est ainsi qu'elle sait, elle sait ce qui se passera, et ce qui ne ce passera pas. Peut-être un jours, et jamais sont deux phrase bien différente. Elle les connait, elle aimerait ne pas les connaître, en fait elle aimerait encore être près de se corps chaud respirant calmement. Elle aimerait... c'est un rêve...

Elle est drôle, oui, quand elle se met dans des situation, pas possible, elle est drôle. C'est une sorte de pouvoir d'essayer de rire alors que la mort approche. Je l'ai déjà expliquer plus haut, mais là c'est différent. Oui, elle fait rire, mais sans le vouloir. Quand elle essaye de faire rire... elle casse un peu l'ambiance. Ceci devait toujours et encore venir de sa mère, puisque son père ne servait à rien. Mais sa mère, elle, elle savait faire rire même quand elle le voulait, encore un défaut de son père. En tout cas, ce son des situation stupide. Bon, en tout cas elle s'en sort toujours mais peut-être en aillant l'air plus stupide que ce qu'elle est. Une fois cette situation oubliée, c'est sur qu'elle revient complètement au sérieux. Heureusement pour elle, sinon elle serait morte directement. Une chance que ce n'est pas été le cas.

Son plus gros défaut après la curiosité, c'est celui de mentir. Oui le mensonge, et comme elle ment très bien, c'est un terrible défaut. Quand elle fait semblant de pleurer, comme ses yeux pleurent tout seul, elle peut faire croire bien des choses. Mais aussi, elle ne rigole pas quand elle ment pour qu'elle soit louche, à part si son but est de rigoler. Comme elle connaît si bien les sentiments, comme elle a une très bonne vue, c'est ce qui lui permet de mentir, tout ses atout à l'affut pour bien mentir. UN gros défaut dont elle ne compte pas s'en débarrasser. Si il la sauve, pourquoi s'en débarrassé ? Et après tout, qui n'a jamais menti ? Rien que pour se sauver, pour faire une surprise... ou tout simplement pour le plaisir de mentir. Mais le mensonge détruit, tout comme la tristesse et la solitude. Mensonge... Énigme... Jamais... Trois mots, le mensonge peut paraître en énigme, mais jamais on ne le comprendra. Enfin, on me comprend ?

Pour finir... Et si ce chaton était... Unique ?

H.ISTOIRE

Il déposa son museau sur le front de son apprentie. Il comptait lui faire payer les bêtise de son père, un solitaire ne méritait pas de vivre dans le clan. Il l'avait tuer, mais avant de partir il lui avait fait une promesse qu'il comptait tenir. Plume de Sable avait donc été le mentor de Treizième Nuage, celle-ci qui avait un père solitaire et une mère qui avait été un traître, puisque qu'elle aimait un solitaire. Tout deux ce regardèrent un moment, le doutes les emportaient tout les deux, pourtant dans les yeux de la jeunette brillait de l'admiration, et dans les yeux du chat gris brillait une fausse gentillesse. Tout le monde hurlait le nom de l'apprenti, pendant que lui, il imaginait déjà un plan pour accomplir sa promesse. Il ne put s'empêcher de faire un petit sourire. La brume se leva, voilant son pelage et seul dans cette masse épaisse se trouvait ses yeux vert éclatant.

Le lendemain, le mentor vint chercher son apprentie tôt le matin à la pouponnière. Il était très tôt puisque le soleil ne s'affichait toujours pas. Dans la tanière des apprentis, tout les chatons dormaient, ils devaient s'être couché tard. Tout le monde savait que les apprentis adoraient jouer toute la nuit, et surtout accueillir le nouveau membre de cette " famille ". Ils jouaient tellement ensemble, s'entendaient tellement bien, mais ce n'était encore que des apprentis, des chatons. Il s'approcha légèrement de son apprentie, la secouant légèrement, si l'éloigner de sa place était doucement. Elle se réveillé, les yeux à moitié barbouillé par le sommeil et gémit des paroles entrebâillée. Il insista à sa nouvelle apprentie pour qu'elle se réveille. Tôt le matin, ils partaient chasser.

Ils ne se quittaient plus, voilà des lunes qui venait de passer, le mentor était encore jeune, très, très jeune, et son apprenti très âgés, et seul quelque lunes les différenciait. L'apprentie ne se levait que pour lui, et Plume de Sable aimait offrir son savoir à la jeunette. Ils partirent tôt le matin, et revenait tard le soir. En fait, les autres apprenti était jaloux par l'absence de la grande apprentie, qu'ils avaient finit par la haïr. Elle, elle ne savait pas que en restant avec le chat qu'elle admirait le plus, elle perdait la confiance de son entourage. Rester avec ce magnifique jeune chat la " tuait " si l'on peut dire. Mais elle l'admirait tellement, elle voulait lui ressembler.

Les deux chats ne se quittaient que pour dormir, mais ils avaient l'air de super bien s'entendre, de... s'aimer. Du moins l'apprentie ne pouvait le cacher, car elle rougissait à chaque fois qu'il la complimentait, et lui il a complimentait assez souvent. Ce chat, tout le monde le croyait très gentil, amical et pourtant si fort, si... parfait ! Et la première qui l'avait remarquer, c'était bien Treizième Nuage. Loin de ce douter que dans la tanière des apprentis, il y avait quelqu'un d'autre qui l'aimait. Treizième Nuage était une jolie apprentie, son pelage mi-long noir et blanc la renait sublime mélangé à son regard bleuté. Elle était si belle, si souriante, si... la lune n'était rien comparé à ces deux chats qui allaient si bien ensemble. Surtout que quelques lunes les séparé à peine, ce qui était encore un avantage pour les deux félins, puisque le mentor était devenu mentor quelque jour après son baptême de guerrier, l'apprentie était assez âgée, puisque elle n'avait put commencer l'entraînement que plus tard que la normale.

Alors un beau jour, la lune brillait de son éclat magnifique, et pour une fois laissant sa jalousie de côté pour les deux être les embellissait de son éclat. Un vent frai qui passait timidement entre les chats, si doux. La mélodie de la nuit s'était tue rien que pour entendre le doux son du silence laisser place au chat la pareole. Les deux chats venaient de travailler toute la journée, un entraînement difficile de chasse, ils était fatigué et pourtant, plonger leur regard dans celui de leur compagnon leur donnait envie de continuer. Plume de Sable regarda la lune, tout comme son apprentie, qui s'améliorait fortement. D'un léger mouvement, il détourna la tête vers l'apprentie, ils étaient assis. Celle-ci sentant sur son pelage l'halène chaude de son mentor se retourna vers lui, alors la, il lui avoua qu'il l'aimait. Et là, le silence reprit place. Les deux chats ne faisaient que de se regarder longuement, se fut ainsi, jusqu'à ce qu'ils rentrèrent au clan. Épuisé et émue à la fois.

Depuis, les entraînements se terminaient avec des caresse et des mots doux. Un jour, l'apprentie avait attendue longuement dans sa tanière, et pour passer le temps, elle se dirigeait vers les autres apprentie. Elle leur fit un sourire, comme si ils étaient toujours ami, et eux, détournèrent la tête. Elle leur proposa de jouer, ils détournèrent son offre et jouèrent entre eux. Treizième Nuage resta calme et se dit que toute manière Plume de Sable allait venir la chercher bientôt, et qu'elle serait guerrière avant eux. Elle patienta autant qu'un apprenti enthousiasme pouvait. Elle sortit pour se poster devant la tanière. Le soleil était à son zénith, apparemment il était midi, et elle commençait à s'inquiéter. Ce n'était pas rassurant que son mentor ne vienne pas comme d'habitude.

Elle se dit que il était normal qu'après tout les jours qui s'étaient écoulé à être ensemble, il ai eu envi de se reposer un jour. Elle choisi alors une proie sur le tas de gibier, à son étonnement, son compagnon et aussi mentor ni était pas. Bon, ça devenait louche, elle entra dans la tanière des guerriers. Alors il devait être autre-part, elle chercha partout quand un guerrier, Neige Blanche l'arrêta. Surpris il demanda à l'apprentie :

" Tu n'es pas partie avec ton mentor chasser ? Pourtant il m'avait dit qu'il devait chasser près de la rivière... je pensais que tu l'accompagnerai. Apparemment, il n'y est pas allé... ou alors, il n'est pas encore rentré. "

Bon, l'apprentie avait décidé de chercher son mentor. Elle était sorti discrètement, afin que personne ne remarque sa disparition. Près de la rivière n'est-ce pas ? Il ne devait pas y être loin, à moins qu'il ait aperçut une proie pas loin et qu'il ai perdu son chemin. Elle était venu plusieurs fois par ici, ce qui l'avantageait pour retrouver son mentor, heureusement pour elle, il était justement près de la rivière. Elle s'approcha de lui, mais quand enfin le buisson s'échappa un peu de son champ de vision, une ombre féline apparut. Il ne fallait pas être bien idiot pour comprendre que Plume de Sable aimait cette intruse, et que elle aussi l'aimait. Le cœur de Treizième Nuage sauta un battement. Elle courut, quelque larme traversant son pelage et le collant à sa peau.

Elle fuit, elle courait, aveuglée par l'eau de ses larmes, elle courait, elle courait sans savoir où elle allait. Elle courait pour le plaisir de fuir la réalité, revenir ans l'inconscience et l'ignorance. Elle était trop jeune, trop stupide. Si naïve ! Elle se haïssait elle-même et ne s'étonnait même pas qu'il ait réussi à la tromper si facilement. Elle n'avait vu que ce chat, il était si beau, son pelage gris virant au bleu sous la lumière de la nuit qui était un énorme cercle de lumière sur ce fond bleu nuit. Il était magnifique et paraissait si gentil, si amical... trop troublé par cette réalité, elle avait oublié de ce demander pourquoi ? Pourquoi il avait fait ça.

Quand le jeune mentor rentra, il remarqua le visage de l'apprentie " changé ". Celle-ci n'étant pas douée pour ne pas faire paraître ses sentiments, tout ce lisait. Elle avait beau faire un sourire, il avait changé. Plume de Sable par contre, lui, il fit comme si il n'avait pas deviné. Il avait déjà réussi à la tromper une fois, pourquoi pas une deuxième fois, elle était si stupide. Plus stupide qu'elle ? Qui aurait voulu d'elle à part un autre imbécile de chat... comme cet apprenti qui maintenant souhaité la mort de la féline. Elle avait tout perdu et le mentor se sentait fier. Fier de son exploit... mais ce n'était pas terminé.

Le lendemain, Treizième Nuage qui ne s'était par remit, marchait la tête basse, bien basse, tout le monde aurait put deviner que quelque chose la troublait, mais seul Plume de Sable savait pourquoi. Elle se dirigeait à pas lent vers le chat, chaque pas pesant plus les uns que les autres. La tête tournait, apparemment, elle n'avait pas dormi puisque ses yeux perdait son éclat... en même temps que sa joie. Un éclat qui avait toujours brillé dans son regard depuis qu'elle connaissait Plume de Sable, un regard si réveillé dès le matin. Un sourire qui ne s'illuminait que pour le plaisir de son mentor et sa propre joie personnel. Les félins comprenait que un éclat d'admiration brillait dans son regard, et il n'avaient jamais vu la féline ainsi. Elle devait avoir très mal dormi cette nuit. Pourtant, personne ne s'opposait au deux chats, comprenant qu'ils ne se quittaient pas. De toute manière, qui aurait put les séparé, c'était mission impossible !

L'apprentie suivit d'un pas lourd son mentor, la tête basse, la queue traînant au sol. Elle n'avait rien à faire et se souciait peu de savoir où elle allait. Et après des heures de marche, marcher près de la rivière, de cascade et de chemin du tonnerre, le guerrier s'arrêtait. Treizième Nuage qui ne voyait où elle allait se cogna contre le félin. Elle baissait la tête pour que le félin ne voit pas qu'elle pleurait. Pourtant le guerrier savait très bien ce qui se passait, il n'avait pas besoin de revoir le visage de la jeunette, il l'avait vu tellement souvent, inutile.

L'apprentie qui n'avait pas regardée où elle se trouvait, ne remarqua pas qu'elle était dans un lieu inconnu. Il lui jeta un regard haineux, un regard qu'elle n'avait jamais vu apparaître sur son visage. Un visage impossible à oublié. Il était terrifiant, il aurait fait fuir n'importe quel chaton. Treizième Nuage surprise fuit dès qu'elle vit ce regard si terrifiant. Ces yeux, ils étaient remplit d'un éclat sanguinaire, la jeunette courut, mais comme Plume de Sable avait fait exprès de l'amener dans un lieu inconnu, elle était perdu. Elle avait continué à courir, sans se soucier qu'un petit ravin se trouvait près d'elle. Elle n'eut pas le temps de remarquer où elle allait, elle était tombé sur le petit ravin, elle roulait sur le sol, s'entaillant tout le corps. Des racines douloureuses la stoppant dans sa chute, des pierre s'enfonçant dans son pelage désagréablement. L'envie de crier la démangeait. Elle stoppa sa chute, près d'une grosse pierre.

Mais comme si se n'était pas suffisant, Plume de Sable descendait, mais il descendait lentement lui, il savait où il allait. Il se stoppa devant son apprentie, et calmement il lui jeta un regard si froid, si meurtrier que si un regard aurait tué, elle serait déjà morte sous le coup. Il soupira, l'air bien déçu, mais rien n'en parut quand il fit son sourire si sarcastique, si narquois, si sadique. Un sourire qui l'avait terrifié, se sourire elle ne l'avait jamais vu, et elle aurait aimé ne jamais le voir. Mais bon, trop tard et le mal était fait. Il fit un petit rire avant de lever avec férocité sa patte et dire bien fort, d'une voix puissante :

" Tu m'as vu avec cette étrangère ! Tu n'aurais pas dû être là ! "

Il baissa sa patte sur le visage de son apprentie, qui se retrouva avec une belle entaille sanglante sur le nez. Ce qui l'aveugla d'un œil.

" Tu n'es qu'une imbécile. Tu croyais vraiment que je t'aimais ? J'aurais put te faire croire que les renards avaient six yeux, tu m'aurais cru ! "

Il leva la patte de nouveau pour causer une belle entaille sur le bras. Le sang coula, le rouge du sang couvrit le poil, se mélangeant à la poussière. Il continua :

" Tu veux savoir pourquoi ? Pourquoi je t'ai fais croire tout ça ? J'ai tuer ton père, voilà ! Et je lui avait juré avant sa mort de me venger sur ses descendant ! Pourquoi je l'ai tué ? Les solitaires ne méritent pas de vivre ! Ils sont si inutile, si faible. "

Il lui donna un dernier coup. Ses yeux étaient remplis de rage. Ses pattes sanglantes, celle de sa victimes. Treizième Nuage resta sur le sol. Son corps habitait encore une once de vie. Alors le mentor, ce traître parti, un sourire narquois sur le visage. Quand il rentra au clan, il dit à tout le monde qu'ils avaient croisé un blaireau. Qu'il s'était battu avec son apprentie, mais que celle-ci n'avait pas survécue.

Pendant se temps, le corps ensanglanté était toujours sur le sol, si un guérisseur ne rentrait pas vite, allait mourir. Elle prit une force en elle, celle de la rage, de la haine, de la vengeance. Elle se releva, la douleur rongeant ses force. Après une heure de marche, elle reconnu l'odeur de clan adverse. Elle retomba malgré tout sur le sol. Ferma les yeux. Les larmes noyant le sang. Elle crue sa fin arriver, elle crue voir son père, leur ancien chef, et d'autre chat. Mais alors l'illusion disparu, elle rouvrit les yeux. Elle se trouvait dans la forêt.

La nuit était tombée, la lune éclaircit son pelage. Ses yeux brillaient. Elle se releva, nettoya sa fourrure pour que le sang coule moins. Se fut donc le visage rongé par la fatigue, les yeux remplis de haine que Treizième Nuage rentra au clan.

Tous la virent surpris. Certain joyeux, et son mentor qui se réveillait à peine, fut immédiatement réveiller dès qu'il vit son apprentie ensanglantée. Il avait de grands yeux surpris, les yeux des traîtres. Il fit un sourire, s'approcha de son apprentie et dit :

" J'ai crue que tu étais morte ! Je suis ravie de te voir en vie ! "

Mais l'apprentie lui lança un regard haineux. Elle leva la patte pour lui faire une balafre sur le visage.

" Sale traître. Je ne suis pas morte, car tu ne m'as pas tué. Tu regrettes ton erreur, voilà bien des jours que je marche avec cette douleur dans le corps. Tes yeux te mentent, tu as le regard d'un traître ! Les yeux du traître, tu n'as pas mériter de faire parti de se clan. Et tu te jures en se moment que tu ne feras plus jamais la même erreur. Si tu as l'occasion de recommencer. " Lança Treizième Nuage.

" Comment ça ? " S'étonna le traître.

L'apprentie se jeta sur lui, il avait l'avantage, de l'âge, de l'expérience, et du nombre de dégât. C'est pour ça que Treizième Nuage le prit par surprise, peut importait si elle devait en mourir, elle vengerais la mort de son père. Elle le jeta à terre, avec les pattes arrière lui laboura le ventre. Lui cracha au visage, le sang qui coulait de son entaille tomba sur son adversaire qui fut aveuglé.

De la fourrure volait de partout. Ce fut après une longue bataille pour voir qui aurait le dessus que Plume de Sable cloua à terre l'apprentie.

" Tu aurais dû te douter, personne viendra à ton aide. Qui ici peut te croire ? Tu n'ai qu'une apprentie. Je suis trop fort. "

D'un seul coup, tout les chats se hérissèrent le poil, regardant le traître, il regarda autour de lui, ses yeux brillant de colère. Mais brillant aussi de tristesse, il ne savait que faire, il pleurait de souffrance et pourtant, ce n'était pas lui qui était le plus blessé. Ce n'était pas lui qu'il fallait plaindre, il ne put s'empêcher de crier un hurlement si puissant, si fort, toute la colère et la tristesse qu'il avait s'emportait dans toute la forêt. La guerrière qu'il voyait en secret n'eut donc pas de mal à savoir de qui venait se cri, comme les deux clans n'étaient pas loin, ça facilité le moyen de se parler. Il hurla encore :

" De toute manière, si vous voulez des bouches à nourrir inutilement, vous en avez une ! Je vous ai débarrassé du poids lourd de son père, car les solitaires ne méritent pas de vivre ! "

Ces paroles dîtes, il fuit aussi vite qu'il le put, comme c'était la nuit, qu'une brume emplissait tout son chemin, pourtant ce qui le rendait plus aveugle c'était les larmes. Il lui brouillait la vue, et comme si une force l'emportait dans sa prison d'aveugle, il évita toute les arbres avec une telle puissance il rebondissait sur le côté, une force incomparable. De son côté, Perle de Pluie, la guerrière qu'il aimait en faisait de même, les yeux remplis de peur et d'inquiétude. Elle courait avec une tel grâce, une tel agilité ! Elle ne s'empêchait de crier le nom de celui qu'elle aimait, son pelage d'or, la nuit se confondant avec les tronc des arbres, elle était si belle. Son pelage de chat de race la protégeant. Et ce cri remplit de désespoir était la force qui indiquait à Plume de Sable le chemin. Ses pattes raclant le sol d'une puissance incomparable, ne sentant même plus la douleur qui le traversait. S'en fut de même pour Perle de Pluie, qui rebondissait avec un corps gracieux et une agilité qui lui permettait de se faufiler partout avec une rapidité incomparable.

Les deux guerriers se croisèrent, l'un pleurait, tandis que l'autre avait les yeux brillant. Un geste simple, si simple réconfortant les deux chats. Elle enroula sa queue autour de lui, il en fit de même remerciant la guerrière de l'avoir suivit, de l'avoir guider et de l'aimer. Un geste si réconfortant envers la guerrière aussi, qui avait fait le sacrifice de quitter le clan que pour lui, alors qu'elle aurait put rester dans le clan. Un geste qui réconfortant les deux chats, sous la pleine lune clair et brillante qui ne brillait que pour le propre plaisir, sous le ciel couvert d'un hiver glacial. Une brise légère portant réconfort mais aussi des prédiction d'un hiver bien triste où, ils risqueraient de perdre un être cher. Et si cet être se perdrait, alors il ne verrait jamais le jour, effectivement. Un jeune chaton encore inconnu de cette terre. Et le silence qui rainait n'était qu'une douce mélodie en cette heure bien triste pour les deux félins.

Petite boule de poil au pelage doré. Un regard bleuté et des larmes brillante. Un seul chaton... les autres étaient mort avant même d'avoir touché le sol. Un aveugle et sourde et étrangement, muette. Il porta le chaton près de celle qu'il aimait. Comprenant son regard, elle le regarda, le même sourire qu'à leur rencontre, si illuminant, si joyeux, si réconfortant. Un rêve ce sourire, et le même apparaîtrait sur le chaton, elle devait le voir, elle allait le voir. Ce chaton, qui était muet ne pouvait donc pleurer si inutilement, il fit un petit sourire, les yeux brillant, que Perle de Pluie remarqua à quel point le chaton était magnifique, le premier mot qui lui vint à l'esprit était l'irréel, puis en suite, le rêve. Ce qui ne se combinait pas, puisque qu'un rêve était toujours irréel. Alors ce mot lui vint aussi vite que la magie de ce sourire était apparut.

" C'est un rêve, c'est un chimère, c'est irréel, c'est un Rêve Chimérique. "

" C'est une Petite Chimère. " Poursuivi Plume de Sable. " Si petit, si fragile, si faible et pourtant si irréel. "

" Alors Petite Chimère est un Rêve Chimérique et si elle rejoint un clan, elle s'appellera Rêve Chimérique. Et moi je vous regarderait. "

Peut-être avait-elle sauvé quelqu'un, mais ce sourire était si différent et ne la rapprochait pas de la mort. C'était si étrange de savoir que le chaton vivrait seul, sans mère. Mais le regard qui brillait, qui s'illuminait chaque fois, accompagné d'un sourire remplit de joie, d'espoir, laissant abandonner toute reproche. Ce regard, il en regrettait pas de l'avoir vu, mais il ne voulait pas payer le prit de devoir être la cause de sa mort. Il se sentait coupable, oui, la féline serait resté dans un clan, un guérisseur aurait été là et aurait sauvé les deux êtres. Mais par un froid mordant d'hiver, que faire ? Sauver ce rêve, cette chimère muette.

Quelques jour, la petite avait eut droit à la vue et l'ouïe, mais comme elle était toujours muette, elle développait ses deux autres sens à une étonnante rapidité. Et un jour, alors que son père la sauvait d'une chute qui aurait put la tuer, elle cria contre son père des injures de chaton qui vient de récupéré la voix, mais une voix puissante en même temps.

" Ben voyons ! Tu regrette que je sois née et tu pense que maman et morte par ma faute ! Je mettrais fin à mes jours volontiers ! "

Des mots choquant pour un chaton qui avait apprit à parler intérieurement, c'était une surprise. Ce chat, il avait toujours été fort, puissant mais face à la petite il était impuissant et souvent il pleurait quand les deux chats se fâchaient, et comme ça arrivait à chaque fois qu'il la contrarié, ça arrivait très souvent. La petite qui pleurait quand elle riait était en colère, alors pleurer n'était pas son problème car elle aimait faire pleurer son père. Chaque nuit qui suivait une dispute, elle dormait de plus en plus loin de son père. Mais alors, elle se serrait contre son pelage. Chaque jour c'était pareil, dispute, réconciliation et toujours des larmes. Mais le chatons qui avait apprit à déteste son père fut surprise ce jour.

Des guerrier inconnu vinrent chasser sur le territoire libre, et les deux chats qui voyageaient eurent la malchance de les croiser. Apparemment ces guerriers paraissait connaître son père, il fut surprit et demanda à sa fille de courir. La petite courut effrayée. Mais entendant les bruit sanglant de chats qui se bagarrait, elle fit demi-tour avec grâce, agilité et rapidité elle revint. Se cachant dans un buisson, elle aperçut son père sur le sol, tout ensanglanté et un des chats lever la patte pour donner le coup final. La jeunette bondit très rapidement et aveugla le guerrier quand elle tomba sur son regard. Elle le griffa avec ses petites pattes sur le visage. Il cria un peu, car la petite se trouvait sur son visage, alors, elle avait ses griffes plantées près de l'œil du puissant chat. L'autre guerrier dit :

" Laisse tomber ! De toute manière il est mort d'avance. "

Le guerrier jeta le chaton par terre et les chats fuirent. Le chaton regarda le corps ensanglanté, un pelage gris maculé de sang et de poussière. Comme les chats avaient beaucoup de blessures, la petite s'imaginait bien qu'il leur avait laissé assez de souvenir pour qu'il en viennent plus embêter la jeunette. Elle qui avait toujours cru détester son père, elle fut étonné à mettre son petit corps sous la patte puissante de son père, qui respirait encore et lui murmura :

" Je vais te raconter une histoire, mais arrête de pleurer. " Il savait que la petite pleurait tout le temps, même quand elle riait, mais il poursuivit. " La forêt est peuplé par quatre clans, dans ces clans vivent des chats qui nous haïssent. Parce que une guerrière nous à fait partir de ce clan, ta mère est morte, tandis que je meurt lentement. Tu ne pourras peut-être pas pardonné cette guerrière, mais moi aussi j'ai tué quelqu'un, et alors que j'étais en territoire libre, ils ont voulu me tuer. Promet-moi que tu sauras respecter les limites qu'on causer ces clans, promet-moi d'être forte, courage et rester aussi jolie. Promet-moi que tu en voudra contre Treizième Chance car elle nous as tué intérieurement. "

Le chaton pleura alors que le chats y laissait son dernier souffle, et elle se jura un jour qu'elle tuerait celle qui avait causé tout ça. Elle le jura, et resta près du corps de son père toute la journée, et le lendemain, et après, jusqu'à ce que les charognards mangent le corps et qu'il n'était plus aussi beau qu'avant. Elle poursuivit son chemin, toujours se promettant de tuer celle qui causa cette mort. Et elle avançait, petit corps faible de quatre lunes et pourtant assez développé pour vivre seul dans la forêt.

A.IME

Plus rien n'a goût à aimer pour elle

A.IME P.AS

les clans et surtout, elle


Comment j'ai connu le forum ? Je suis Eclat d'Humour

Mon avis sur le forum ? aucun

Codes : Fougère - Warriors

Censuréééééé par HF u_u T'énerve pas comme ça Houxette, ta tension va monter en flèche.

calme toi... je met juste de la PLACE
donc c'est à toi de te calmer... vous pouvez pas me valider de toute manière

Bienvenue =)
Houxette, il y a certaines personnes qui font des pages et des pages d'histoire et de caractère etc. Seulement ça rentrer pas dans un post. Je préfère qu'elle fasse ça que poster un bout de sa prés par ci et un bout par là.
Désolée, j'ai censuré c'était ultra-agressif u_u' prends des vacances xD

merci =)

mais le dernier je suis peut-être pas sur de l'utiliser... c'est au cas où le caractère ne rentre pas dans le même post x)

Bah disons que pour moi, place ca veut dire Up. Et Up au bout de deux heures, excuse moi mais... Bon, bref, désolée. Vraiment x) J'ai mal interprété et du coup, comme je l'ai compris ca m'a énervé u_u. Désolé, Petite Chimère. C'est que tu comprend, j'avais compris ca comme UP, et Up, ben voilà... Vraiment désolée, déoslée, désolée. Bonne continuation ! ^^

je Up jamais x) comme je sais jamais ce que ça veut dire x) bon enfin si un peu mais voilà quoi... vous me comprenez, hein ? ?non ._. ?

Ben up, en faite, ca veut "Valider moi, valider moi !" Et tu fais ca dans un nouveau message, comme ca ca apparaût droite et attire l'attention. Valà ! ^^ Tu m'en veux pas, hein ? Mais là je suis un peu à cran ! Exellent physique au fait ! ** Comment tu fais ?

euh pour le physique... je fais plusieurs partie du genre :

le regard
la force

déjà ça me fait plus de ligne
après je décrit tout ce que peut voir dans ces choses x) en général de sentiments et des secret

et voilà x) au fait... je sais ce que ça veut dire up... mais je sais pas en même temps x)

beuh... je sais qui tu es ._.
Ça va bien * surprise par la joie de susucre * et toi ? très jolie sign' *__*

merci <3

roh c'est bon je suis pas venue sur le forum sans savoir qui étaient les membres de AoC x) d'ailleurs vous auriez dû me dire qui vous étiez dans la prez' d'Eclat d'Humour. Là au moins je vous connaissais pas :*/16/*:

Bienvenue par moi et mes 2 autres comptes !! Superbe près' et superbe sign' ^^

merci <3 mais là je vais l'arrêter... j'ai mal aux yeux T.T vous savez pas ce que c'est de faire trois prez' en même temps

Hello poussy !!! Moi tu me connais : Source d'Emeraude sa te dit quelque chose ?

hellow' =) sourci

j'ai fini le physique et le caractère T.T

Magnifique prez' Petite Chimière !!!

Fini =)

Ben vlaidé! (meme pas tout lu tellement c'est long!)