Les gaffes provoquent des rencontres parfois exeptionelles

Les gaffes provoquent parfois des rencontres exeptionelles, Rp avec Ciel sauvage, Belle de Cristal et moi. 


Je sors du train. La garre grouille de centaines de personnes qui prennent le train, en sortent comme moi, viennent acheter leurs billets, ou même mangent. Chacun a un rôle particulier pour faire vivre cette gare. Comme dans une fourmilière. Je cours, mon sac sur le dos hors de cette gare qui me donne mal à la tête. Ce tgv m'avait ramené de normadie, où j'ai fait une competition d'equitation. Mes Grand-Parents habitent là bas. J'y ai passé le week end. Je peux pas faire plus, j'ai une épreuve de bac bientôt. Je me dirige alors automatiquement dans le parc monceau. J'ai passé mon voyage au téléphone avec mes amis et je n'ai même pas appelé mon père .  Je m'assois sur un banc et sors mon téléphone. Je tombe sur le répondeur. Super. 

"Hey dad ! Je suis rentrée sans problème. Je passe réviser à la bibliothèque. Préviens papy et mami. T'embrasses fort, 
Chlo."

Tiens, pourquoi j'ai dis que j'allais à la bibliothèque ? Elle est super loin et j'ai super mal au jambe à cause de ce cheval et de sa celle pourri ! ! Bon, j'ai des tykets ? Oui, parfait. Go man go !                                                                                                  Alors maintenant opération arrêt de bus le plus proche... Trouvé !! Dans combien de temps il arrive ? Quoi ! 1 heure ! Oh, non, je vait devoir y aller à pied ! 

30 bonnes minutes plus tard, me voilà devant la bibliothèque. Je pousse la porte qui emet un grincement strident. Toujours aussi vieille cette bibliothèque ! Jeme souviens d'elle quand j'était toute petite ! Les choses changent tellement ! 

"Bonjour Madame Legrand !" dis je à la bibliothécaire "Je peux prendre la table du fond ?"

"Comme d'habitude !" Répond elle 

Alors, je me glisse lentement jusqu'à la table en question. Je farfouille dans mon sac, entre les affaires sales, les affaires d'équitation, les livres pour en sortir une paire de lunettes, 500000 cahier et 29 pochettes. Mes affaires prennent à elles seuls toute la table ! Soudain, un bruit de casse vient intérompre mes neuronnes en action. Oh non, encore des petits voyous ! Madame Legrand va s'énerver ! Mais non, plus rien. Je sors doucement de mon travail pour me diriger vers la cause du bruit. Une jeune fille blonde ramasse des livres par terre. Je me diriges vers elle en courant. 

"Je vait t'aider, ne t'embête pas." Lui dis je gentiment 

Elle ai vraiment jolie cette fille. Je ne sais pas si elle m'a compris. Je n'ai pas fini de ramasser tout les livres que je  me lève. Je tends ma main droite pour lui  serrer la main. Non, ça fait trop ringard. Alors, je déclare juste : 

"Ravie de te... euh vous connaitre ! Je m'apelles Chloé Grin et toi euh...vous ?"

Elle a l'air plus vieille  que moi....

Que faisait-elle ici ? Renouer avec le plaisir de lire, sûrement. Mais Kaya avait mal choisi son moment, elle avait un shooting dans deux heures. Elle fourra son book dans son sac et entra dans la bibliothèque. Presque désert, a part une dame assise la, au comptoir sûrement. Cela devait sûrement être elle. Kaya s'exclama d'un ton bourru :

HRP : Belle m'a dit de Rp à sa plae pour que l'apelles et qu'elle arrive à la bibliothèque. 

Une allemande à Paris ? Et Mannequin en plus ? C'est byzare ! Bon, je me retiens de lui demander ce qu'elle fait ici car elle est manaquin. 

Soudain, je me sens toute byzarre. Le souvenir de ma mère me revient. Elle et son visage souriant, ses yeux qui pétillaient de bonheur, ses bras qui me portaient avec tant d'amour son odeur de rose. Je vacille et suis bien contente qu'il y ai eu une chaise juste sous moi. Je respire longuement et je ferme les yeux. Je sors rapidement mon téléphone et apelles Margot. Je ne sais même pas si elle m'a répondu que je lâche cette phrase. 

"Bibliothèque de Paris, France. Margot, ma mère.... Elle revient  ! Viens, je t'en suplies !"

J'éteints mon téléphone et je me retourne vers l'alemande. 

"Je suis désolée, ma mère était manequin. Elle travaillait trop, ne mangeait pas et faisait trop de sport. Elle est morte quand j'avait 4 ans. Alors quand on me parle d'un manequin, ça ne va pas super quoi." 

Je me lève pour aller chercher une bouteille d'eau et revient m'assoir, toute fatigué. 

"J'ai appelé ma meilleure amie. Reste avec moi, tu pourras la voir !"

J'ai faim...